La perle (Édition adaptée en grands caractères ; Malvoyance, fatigue visuelle, troubles de l'apprentissage, troubles DYS, dyslexie, dysgraphie, TDA/H, alphabétisation, FLE, facile à lire. traduction conjointe Marcel Duhamel)

John Steinbeck

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par RENEE VAVASSEUR

Résumé

« Jouant de sa lame comme d'un levier, il le fit céder et le coquillage s'ouvrit. Les lèvres de chair se crispèrent puis se détendirent. Kino souleva les replis et la perle était là, la grosse perle, parfaite comme une lune. Elle accrochait la lumière, la purifiait et la renvoyait dans une incandescence argentée. Elle était aussi grosse qu'un oeuf de mouette. C'était la plus grosse perle du monde. » Le jour où Kino l'Indien pêche la plus grosse perle du monde, les forces du mal se déchaînent contre lui...


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    John Steinbeck

  • Traducteur

    RENEE VAVASSEUR

  • Éditeur

    Voir De Pres

  • Distributeur

    Voir De Pres

  • Date de parution

    07/01/2019

  • Collection

    Police 20

  • EAN

    9782378281601

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    240 Pages

  • Longueur

    24 cm

  • Largeur

    15.6 cm

  • Poids

    399 g

  • Lectorat

    à partir de 15 ans

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Grands caractères   Broché  

John Steinbeck

D'ascendance prussienne et irlandaise, J. Steinbeck naît à Salinas, petite ville de Californie, dans une famille modeste de quatre enfants. Il étudie à l'université de Stanford, en exerçant parallèlement de petits métiers: commis de vente, employé de ferme. Il abandonne ses études, quitte Los Angeles pour New York mais s'adapte mal à la ville. Après un échec dans le journalisme, il retourne en Californie et prépare son premier roman, La Coupe d'or, qu'il publie en 1929. Six ans plus tard, il connaît son premier succès populaire avec Tortilla Flat, chronique truculente de la vie des paisanos peu recommandables mais unis par la fraternité. Il prolongera cette veine anarchisante avec Rue de la Sardine et Tendre Jeudi. Ses autres romans parlent de l'inhumanité du développement économique et de la misère des journaliers. Déçu dans ses convictions socialistes, il finira par se rallier au "rêve américain" tout en se rapprochant de la nouvelle génération de l'Ouest et des Beatniks.
En 1948, il est élu à l'Académie Américaine des Arts et des Lettres et en 62, il reçoit le Prix Nobel de Littérature.Son oeuvre est généreuse et son originalité réside dans cette langue populaire, souvent cocasse, qu'il a su restituer; dans l'amitié et la solidarité qu'il a peint de façon émouvante.

Renée Vavasseur

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