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Faute De Frappe
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Le jour où Miss Boxer m'engage pour retrouver son crooner de mari, a priori mort, les ennuis se mettent à tomber sur moi plus vite qu'une vieille peau sur la glace. Au fur et à mesure de l'enquête, je me heurte au pire et plus ça va, plus mon âme de privé s'enfonce dans la vase d'une bien étrange histoire, palpitante et rocambolesque.
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L'heure aurait pu être grave, heureusement mon verre est plein.L'amour de ma vie s'est barré. J'ai plus qu'un seul bras et ma tumeur court toujours. Je déprime.Je vais au rendez-vous qu'un inconnu me donne et là, blackout. Je me réveille à l'hosto, j'ai deux bras, plus de tumeur et on m'accuse de meurtre... Pas comme si j'avais eu du bol depuis ma naissance mais bon. C'est quoi, cette embrouille ?
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On retrouve dans la benne à jouets d'une déchèterie de la métropole lilloise le cadavre d'une adolescente. Le lieutenant Adrien Carpentier, féru de musique, en déduit vite que la victime est la réplique parfaite de la chanteuse Jeanne Mas dans l'un de ses clips... La fille a été droguée puis rouée de coups. Qui a cassé sa jolie poupée ? Qui a tué Jane Mas ? Un thriller mélomane aux allures de Top 50, entre le délire pop insouciant des années 80 et le tourbillon d'une nostalgie meurtrière.
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Le jour où Miss Boxer m'engage pour trouver son mari disparu, les ennuis se mettent à tomber sur moi plus vite qu'une vieille peau sur la glace...
Voilà comment démarre l'odyssée de Stan Kurtz, privé rétro et antisocial, embarqué malgré lui dans la plus délirante des enquêtes. Entre bitume et bitures, parasites tentaculaires et femmes fatales, au gré de neuf épisodes emplis ras la tronche de boums, de bangs, de rebondisse¬ments dantesques et d'humour foireux, de chapeaux mous et de castagne dure.
Avec moi au milieu... Moi, l'humble plumitif qui a suivi notre Infra-Détective le long de cette tortueuse route.
Je m'appelle Marc Falvo. Lors de notre rencontre, je vivotais en tant qu'auteur anonyme, ne touchais la grâce que du bout du bout de mes petits doigts. Bref, j'attendais l'étincelle qui enflammerait ma carrière, en tirant le diable par la queue et mes économies au maximum de leurs maigres capacités. Et j'ai donc croisé Stan Kurtz, comme ça à la coule. Par hasard et pas rasé, dirait-il pour citer un de ses chanteurs de prédilection...
Nos chemins se sont percutés avec l'évidence du coup de foudre, avec la brutalité du crash entre deux bolides au contrôle aléatoire, et la certitude que nous étions faits pour nous entendre. Que la vie, cette friponne, nous avait taillés du même bois, celui dont on forge les francs-tireurs et les plus beaux candidats à la cirrhose. Bref, il y a presque quinze ans aujourd'hui, pour employer ce passé simple dont il raffole, on se croisa et on ne se quitta plus.
Cette odyssée, l'évoquais-je au premier tome, a duré presque quinze ans. Elle a épuisé deux éditeurs, essuyé un paquet de refus et de revers cinglants, reçu quelques bravos épars, de ceux qui réchauffent un coeur transi et confirment que vous n'avez pas perdu votre jeunesse et la plupart de vos illusions pour rien...
Stan plaisait. Sa tronche, sa dégaine, son franc-parler, ses rares qualités et ses nombreux défauts. Surtout ceux-là, d'ailleurs, car on les partage tous. La mauvaise foi, la maladresse, le freestyle souvent merdique et un goût certain pour l'excès. Ce privé à la ramasse titillait, chez ses lecteurs, une sorte de fibre rassembleuse, assez ironique pour quelqu'un qui, dès nos primes échanges, m'a assuré qu'il se foutait de plaire à tout le monde... Qu'il avait un mont de choses à dire et que personne ne l'en empêcherait.
Et après moult nuits sans sommeil, des dizaines de ramettes de papier, des centaines de flacons de raide et quelques milliers de clopes, sans compter les vannes sur notre calvitie commune - on a paumé nos tifs en même temps, voyez la belle complicité - vous tenez le fruit de cette obstination entre vos mains.
Tâchez d'en faire bon usage.
Et au plaisir, les loulous. -
Le jour où Miss Boxer m'engage pour trouver son mari disparu, les ennuis se mettent à tomber sur moi plus vite qu'une vieille peau sur la glace...
Voilà comment démarre l'odyssée de Stan Kurtz, privé rétro et antisocial, embarqué malgré lui dans la plus délirante des enquêtes. Entre bitume et bitures, parasites tentaculaires et femmes fatales, au gré de neuf épisodes emplis ras la tronche de boums, de bangs, de rebondisse¬ments dantesques et d'humour foireux, de chapeaux mous et de castagne dure.
Avec moi au milieu... Moi, l'humble plumitif qui a suivi notre Infra-Détective le long de cette tortueuse route.
Je m'appelle Marc Falvo. Lors de notre rencontre, je vivotais en tant qu'auteur anonyme, ne touchais la grâce que du bout du bout de mes petits doigts. Bref, j'attendais l'étincelle qui enflammerait ma carrière, en tirant le diable par la queue et mes économies au maximum de leurs maigres capacités. Et j'ai donc croisé Stan Kurtz, comme ça à la coule. Par hasard et pas rasé, dirait-il pour citer un de ses chanteurs de prédilection...
Nos chemins se sont percutés avec l'évidence du coup de foudre, avec la brutalité du crash entre deux bolides au contrôle aléatoire, et la certitude que nous étions faits pour nous entendre. Que la vie, cette friponne, nous avait taillés du même bois, celui dont on forge les francs-tireurs et les plus beaux candidats à la cirrhose. Bref, il y a presque quinze ans aujourd'hui, pour employer ce passé simple dont il raffole, on se croisa et on ne se quitta plus.
Cette odyssée, l'évoquais-je au premier tome, a duré presque quinze ans. Elle a épuisé deux éditeurs, essuyé un paquet de refus et de revers cinglants, reçu quelques bravos épars, de ceux qui réchauffent un coeur transi et confirment que vous n'avez pas perdu votre jeunesse et la plupart de vos illusions pour rien...
Stan plaisait. Sa tronche, sa dégaine, son franc-parler, ses rares qualités et ses nombreux défauts. Surtout ceux-là, d'ailleurs, car on les partage tous. La mauvaise foi, la maladresse, le freestyle souvent merdique et un goût certain pour l'excès. Ce privé à la ramasse titillait, chez ses lecteurs, une sorte de fibre rassembleuse, assez ironique pour quelqu'un qui, dès nos primes échanges, m'a assuré qu'il se foutait de plaire à tout le monde... Qu'il avait un mont de choses à dire et que personne ne l'en empêcherait.
Et après moult nuits sans sommeil, des dizaines de ramettes de papier, des centaines de flacons de raide et quelques milliers de clopes, sans compter les vannes sur notre calvitie commune - on a paumé nos tifs en même temps, voyez la belle complicité - vous tenez le fruit de cette obstination entre vos mains.
Tâchez d'en faire bon usage.
Et au plaisir, les loulous.
Marc Falvo -
Vous assistez à l'enterrement de Boris Legrand, tué par balle cinq jours plus tôt. L'enquête piétine, et sera bientôt classée sans suite faute de preuves.
C'est là qu'entre en scène le commandant Otto Rivers, qui possède la curieuse altération génétique de vivre sa vie à l'envers... Grâce à lui, et malgré son cynisme débordant, vous essayez de remonter jusqu'au tueur à l'heure du crime et ainsi éviter le drame.
Vous sentez-vous prêt à vivre cette aventure hors du commun ? -
Imaginez le topo...
Vous êtes convié à l'enterrement d'un pote que vous n'aviez pas vu depuis des lustres. Comme une sale coïncidence, il est allé mourir au fin fond d'un bled perdu, peuplé de gus aussi avenants que des furoncles mal soignés. En sus, le trépas du fameux pote, son soi-disant suicide, refoule le bizarre à pleins naseaux... Bref, on va encore dire que je suis pointilleux, plus acharné qu'un bouledogue, mais cette fois ça va chier. -
Imaginez le topo...
Un gus se retrouve plombé dans les transports publics. On n'est plus en sécurité nulle part ! Sauf que le fait divers vire à l'empoignade musclée, retorse et surtout secret-défense. Un rodéo à renvoyer James Bond au bac à sable et votre cher Infra-détective à son manuel du parfait espion. Et tout ça pendant qu'une main, loin d'être innocente, se balade au petit bonheur... Un vrai gueuleton de chacals, avec Bibi au menu !