This is the era of the Smart Ecosystems Economy, where the companies that thrive must be ready to cope with randomness and unexpected events. In this digital world, the traditional boundaries have disappeared, paving the way for new and smarter ecosystems to develop. Companies seeking to transform into future-proof organisations would do well to understand these ecosystems, and get a grasp on how they work.
This book serves as a guide to building smart, competitive ecosystems for both small and large organisations. A timely book that cracks the code of tomorrow's business models.
Retail apocalypse. Cette expression désigne la vague de fermetures d'un grand nombre de magasins aux États-Unis depuis une dizaine d'années. En France, le mouvement n'a pas la même ampleur mais l'essor du e-commerce concurrence les ventes «physiques» et contribue à faire progresser la vacance commerciale en centre-ville et dans certaines galeries marchandes. Pour autant, l'avenir des marchés, des boutiques, des centres commerciaux, des friperies, des brocantes, des grands magasins ou des librairies n'est pas scellé. En dépit de la digitalisation des courses, de la remise en cause de la distribution de masse et de l'apparition de nouvelles normes de consommation, le magasin demeure un lieu d'approvisionnement central. Il est également un lieu social et assume d'autres fonctions capables de garantir son existence. À travers une vingtaine de chapitres exposant les résultats d'enquêtes sociologiques, cet ouvrage propose une contribution originale au débat en mettant en évidence les fonctions symboliques et l'utilité sociale du magasin. Que fait-il à l'individu? Que vient y chercher celui-ci que les plateformes ne peuvent lui assurer? Ni complainte du progrès, ni tract poujadiste de défense des petits commerçants, cet ouvrage examine les raisons qui poussent chaque individu à consacrer en moyenne deux heures quarante par semaine aux achats hors de son domicile.
Tous tracés, et alors ? Bienvenue dans le capitalisme de surveillance ! Les géants du web, Google, Facebook, Microsoft et consorts, ne cherchent plus seulement à capter toutes nos données, mais à orienter, modifier et conditionner tous nos comportements : notre vie sociale, nos émotions, nos pensées les plus intimes...
Jusqu'à notre bulletin de vote. En un mot, décider à notre place - à des fins strictement lucratives.
Des premiers pas de Google au scandale de Cambridge Analytica, Shoshana Zuboff analyse cette mutation monstrueuse du capitalisme, où la souveraineté du peuple est renversée au profit non pas d'un État autoritaire, comme on pourrait le craindre, mais d'une nouvelle industrie opaque, avide et toute-puissante, menaçant dans une indifférence radicale notre libre arbitre et la démocratie.
Il est urgent de développer des outils pour appréhender cette situation « sans précédent » et provoquer une prise de conscience internationale. Unanimement salué par la presse, L'Âge du capitalisme de surveillance est un appel à la résistance.
Le célèbre économiste Nouriel Roubini, qui fut le seul à clamer, contre l'opinion générale du monde de la finance, l'imminence de la crise des subprimes de 2008, soutient que nous nous dirigeons vers la pire catastrophe économique depuis la Seconde Guerre mondiale - à moins que nous n'anticipions et n'agissions pour nous défendre contre dix menaces à court et moyen terme.
Cet ouvrage explore ces dix « mégamenaces ». Roubini révèle comment elles se chevauchent et se renforcent mutuellement, et établit un lien entre l'accumulation des dettes, l'argent facile et les crises financières, l'intelligence artificielle et l'automatisation, l'inflation et la stagflation, l'inégalité des revenus et le populisme, les pandémies et le changement climatique... Cette nouvelle interconnectivité nous dirige-t-elle vers la « tempête parfaite » ?
Après avoir examiné chaque menace, Roubini propose d'élaborer un programme pour y faire face.
Il est urgent de nous débarrasser de tous nos a priori et de bâtir un monde différent.
Que se passe-t-il lorsque je contracte un emprunt ? D'où vient l'argent que me prête la banque ? Qu'appelle-t-on la dette ? Qu'est-ce qu'une obligation ? Pourquoi les États veulent-ils absolument « sauver » les banques alors que nous croulons sous une dette réputée inextinguible ? Et pourquoi est-il urgent que nous, citoyens, comprenions les rouages de l'économie et de la finance ? Avec pédagogie et clarté, en s'appuyant sur des infographies éclairantes, Gilles Mitteau, ancien trader à Wall Street devenu vulgarisateur sur YouTube, explique pour nous les rouages d'un système méconnu bien qu'omniprésent dans nos vies quotidiennes. Une lecture nécessaire pour mieux comprendre les enjeux actuels et ainsi interroger les règles que le capitalisme a érigées en lois immuables et qu'il est plus qu'urgent de remettre en cause.
Depuis les années 1990 et les manifestations de Seattle et de Gènes, les organisations économiques internationales ont été mises en cause par les mouvements altermondialistes comme des citadelles du néolibéralisme. Elles ont aussi été prises à partie, plus récemment, par de nombreux gouvernements, l'administration Trump en tête. Mais que sait-on de leur fonctionnement réel ? Leurs sigles abscons - FMI, OCDE, PNUD, OMS, OMC, BM, BRI, BCE, G7, G20, etc. - et la technicité supposée de leur expertise tiennent à distance le profane ou le militant. Leur composition et leur action ordinaires n'attirent guère l'attention journalistique et citoyenne, ni celle des chercheurs. Et les gouvernements ont tout à gagner à les faire paraître homogènes, coupées des réalités, extérieures à eux, indépendantes. L'enquête sociologique présentée dans ce livre propose au contraire d'entrer de plain-pied dans ces espaces internationaux. L'on y suit alors des initiatives bureaucratiques oubliées, en faveur d'un État social au coeur de la crise économique des années 1970, autant que des protagonistes bien connus de la mondialisation néolibérale (Hans Tietmeyer, Alan Greenspan, Milton Friedman, Martin Feldstein, Alfred Müller-Armack, Paul Volcker, la Société du Mont-Pèlerin ou le groupe de Bilderberg, entre autres). L'on y étudie comment se structurent les relations transgouvernementales à bonne distance des débats publics, en montrant par exemple comment les « mains gauches » (social et écologique) et les « mains droites » (économique et financière) des États s'y livrent des batailles politiques et scientifiques à la fois. L'image lénifiante de la « coopération économique » en sort dissipée, de même que celle qui place ces institutions dans un olympe savant hors-sol. L'enquête donne à voir ces espaces hautement confinés et interroge l'institution de cette figure politique non élue, qui fait bon ménage avec le capitalisme, et que l'on peut dénommer : l'épistémocratie internationale.
« La France n'a pas fait de réformes depuis plus de trente ans », « Notre modèle social est inefficace », « Le Code du travail empêche les entreprises d'embaucher », « Une autre politique économique, c'est finir comme le Venezuela » ; telles sont les affirmations ressassées en boucle depuis plus de trente ans par une petite élite bien à l'abri de ce qu'elle prétend nécessaire d'infliger au reste de la population.
Quand ces idées ne semblent plus pouvoir faire l'objet du moindre débat, ce livre cherche justement à tordre le cou aux prétendues « vérités économiques ».
Savez-vous qu'il y a eu plus de 165 réformes relatives au marché du travail depuis 2000 en France ? Que nous avons déjà connu une dette publique représentant 200 % du PIB ? Que plus de la moitié de la dépense publique profite au secteur privé ?
Dans ce traité d'économie hérétique, Thomas Porcher nous offre une contre-argumentation précieuse pour ne plus accepter comme une fatalité ce que nous propose le discours dominant.
Membre des Économistes atterrés, Thomas Porcher est docteur en économie à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne et professeur associé à la Paris School of Business.
Le capitalisme est bloqué. Il n'apporte pas de réponses aux problèmes qui, depuis plusieurs décennies, constituent pourtant les défis vitaux de notre temps : les maladies, les inégalités, la crise environnementale.
Pour les résoudre, nous devons voir grand et restructurer fondamentalement le capitalisme de l'intérieur, l'orienter par un esprit d'innovation axé sur des missions, concrètes, impulsées par la puissance publique. L'État ne peut se contenter d'être un simple correcteur des marchés, mais doit au contraire les créer, gouverner les rapports entre les sphères publique et privée, et défendre le sens de l'intérêt général.
Mission Économie, dont les idées ont fait des émules dans le monde entier, propose une méthode pour sortir de l'impasse actuelle, en déterminant la nature même du capitalisme que nous voulons, inclusif, durable et gouverné par le bien public.
« Nous savons tous que notre monde s'est beaucoup endetté depuis des décennies et que sa «financiarisation» a atteint des proportions jamais atteintes auparavant, du moins en temps de paix.
Mais quelle est la gravité de ce phénomène ? Quelles sont ses conséquences sur la solidité de notre système financier, sur le fonctionnement de notre économie et sur l'avenir même de notre société ?
Il faut surtout comprendre comment notre monde a changé subrepticement de modèle : il a glissé, depuis deux décennies, vers un paradigme étrange, celui où l'essentiel de l'activité économique se traduit désormais par la hausse des valorisations d'actifs financiers au détriment de la croissance, des revenus salariaux et de l'investissement productif.
Il est temps de mettre fin au règne de l'illusion et de remettre en valeur les ressorts économiques fondamentaux sans lesquels il ne peut y avoir de vraie croissance. » J. de L.
Le point de vue éclairé de deux économistes d'aujourd'hui, sur cette crise inédite de la Covid-19 qui met les États devant des responsabilités fortes.
Penser l'après-Covid est vital. Deux scénarios sont envisageables. Le premier est celui d'une aggravation de la crise sanitaire, économique et sociale, faute de réponses adaptées. Le second est celui de la maîtrise, même imparfaite, de la pandémie et d'une refondation de l'économie mondiale sur des bases plus saines et durables.
Pour définir où se fixera le curseur entre ces deux scénarios, tout dépendra des politiques économiques et sanitaires mises en oeuvre. Première solution : le repli sur soi, le protectionnisme, terreau de tous les populismes. Seconde solution : la prise de conscience que la coopération et la solidarité sont les seuls piliers d'une sortie de crise par le haut.
La politique à mettre en oeuvre ne peut pas être réformiste. Il faut des ruptures. Ce livre en propose huit. Il dessine ainsi le « chemin de crête » qu'il est possible de suivre pour sortir de cette crise historique de manière équitable et pérenne.
Cet ouvrage « classique » (prescrit depuis plus de 25 ans, du lycée à la faculté) propose une initiation à la microéconomie (comportements individuels et fonctionnement des marchés) et à la macroéconomie (problèmes au niveau de l'économie nationale : crises, chômage, inflation...). Cette 4eédition a été réécrite et développée, en particulier pour introduire les grands courants de la pensée économique et les points de désaccord entre ces derniers. Elle vise ainsi à mieux répondre à la nécessité d'un enseignement pluraliste de l'économie.
Serait-il temps de tout changer ?
L'économie sidère. Pour le citoyen ou la citoyenne, elle est réputée si dangereuse qu'on n'ose l'affronter. Seuls des experts auto-désignés prétendent pouvoir le faire. C'est pourquoi trop souvent l'économie ne se discute pas, elle s'impose à nous. Mettant en lumière les concepts fondamentaux de l'économie : le travail, l'emploi, le salaire, le capital, le profit, le marché, Gérard Mordillat et Bertrand Rothé prouvent que l'on peut parfaitement débattre de ce sujet qui gouverne nos existences quotidiennes. Un document essentiel à contre-courant de l'idéologie libérale dominante.
Depuis 2015, Jean-Marc Daniel publie une chronique mensuelle dans le quotidien économique Les Échos. Il y juxtapose ses opinions personnelles, souvent provocantes et sa réaction aux événements immédiats. Revenir sur ces chroniques permet de comprendre le passé, d'améliorer le présent et d'anticiper le futur. Entre 2015 et 2022, l'actualité économique a été riche en rebondissements. Elle fut dominée par la rupture politique de l'élection présidentielle américaine de 2016 et celle de l'élection française de 2017, par le Brexit, par le choc imprévisible de la crise de la Covid-19, et par la guerre en Ukraine. Pour lui, c'est le travail et son organisation dans un tissu d'entreprises en concurrence qui sont déterminants, et non l'État. C'est là que son opinion sur l'économie mondiale s'oppose à celle de Thomas Piketty, autre économiste de renom, dont le livre Vivement le socialisme ! regroupe ses contributions au journal Le Monde. Vivement le libéralisme ! en est la réponse. Parfois iconoclaste, souvent percutant et toujours passionnant, Jean-Marc Daniel, économiste réputé, décrypte et décortique ces événements, les actualise en s'appuyant sur la théorie économique, et une érudition d'une grande profondeur historique.
Dans ce texte fondateur de l'économie politique moderne, Adam Smith analyse, à partir des exemples de l'Angleterre et des Pays-Bas, les origines de la prospérité d'un État. Élaborant une théorie sur la division du travail, la concurrence sur le marché ou encore l'idée d'un intérêt individuel convergeant vers l'intérêt commun, La Richesse des nations (1776) pose les bases du libéralisme économique.
Dans ce texte fondateur de l'économie politique moderne, Adam Smith analyse, à partir des exemples de l'Angleterre et des Pays-Bas, les origines de la prospérité d'un État. Élaborant une théorie sur la division du travail, la concurrence sur le marché ou encore l'idée d'un intérêt individuel convergeant vers l'intérêt commun, La Richesse des nations (1776) pose les bases du libéralisme économique.
Ce livre présente les principaux courants de la pensée économique et se démarque des manuels traditionnels en insistant sur la fonction idéologique des théories économiques. Il adopte ainsi une posture critique des théories orthodoxes qui contribuent aujourd'hui à légitimer les politiques économiques contemporaines, et montre comment les hétérodoxes, héritiers de Marx et de Keynes, construisent aujourd'hui des approches permettant notamment d'analyser la montée des inégalités. Ce manuel intègre également la réflexion des économistes autour de la persistance du chômage, l'épuisement de l'actuel modèle de développement, et le défi climatique.
Dans l'arène où sévissent les populistes, la question économique est au coeur de la dénonciation des élites et de «?leur?» politique?: dictée par les intérêts bien compris des banques et des marchés, elle serait favorable à une globalisation tous azimuts, européenne avant d'être française, indifférente aux effets de la désindustrialisation, de la pauvreté, des inégalités.
Or l'argumentaire économique des populistes n'est jamais analysé comme tel, jamais confronté non plus aux expériences politiques que ces derniers ont pu soutenir.
C'est pourquoi ce livre fait le pari, avec dix-sept économistes, tous reconnus dans leur domaine, d'analyser et de déconstruire toute une palette de thématiques chères aux populistes, du protectionnisme aux migrations.
Ainsi se trouvent démontés des «?faits?», des «?données?», voire des «?analyses?», qui relèvent en réalité du storytelling, de la mauvaise foi, d'éléments chiffrés piochés çà et là en fonction de leur capacité à conforter des a priori et des ambitions politiques.
Economy for the common good (ECG) est un modèle économique alternatif qui s'appuie sur un système démocratique dont les citoyens sont les acteurs centraux. Dépassant la dichotomie capitalisme/communisme, il repose sur 4 piliers : la justice sociale, la participation démocratique, la dignité humaine et la durabilité. Soutenu par de nombreux économistes et entreprises à travers l'Europe, ce modèle a également inspiré l'Union européenne puisque le Comité économique et social européen a déjà adopté plusieurs de ses propositions. Christian Felber, l'un des initiateurs de ce modèle, explique dans cet ouvrage comment une nouvelle voie est possible en conservant une large place à l'économie de marché mais en réorientant celle-ci vers les biens communs, les biens publics, mais aussi l'économie du don et les ménages. Un texte fondateur.
La dernière fois que j'ai déposé mes courses sur un tapis roulant, j'ai eu envie de dire à la caissière : moi, je n'encaisse pas. Je n'accepte pas les normes qui font d'elle et de ses collègues des personnels sans voix, sans juste reconnaissance, sans protections suffisantes. Un des plus grands groupes de distribution a augmenté ses bénéfices de 7 % pendant la crise sanitaire, mais il a fallu quinze jours de grève pour obtenir... 45 centimes de hausse des tickets restaurants. Comment ne pas se révolter ?
C. A.
À partir de l'hypermarché, reflet de l'hyper marché capitaliste et productiviste, Clémentine Autain montre ce qui doit changer, maintenant. L'écosystème ne peut plus supporter le gaspillage et le consumérisme débridé, tandis qu'une part croissante de la population ne parvient pas à joindre les deux bouts.
Au fil d'un récit mêlant le personnel et le politique, elle appelle à une transformation profonde, sociale et écologiste, résultant de la conscience et de l'action collectives. Le temps est venu de rompre le lien entre le plus et le mieux.
La nouvelle édition du livre fondateur sur le nudge : le livre de référence sur l'économie comportementale.
Richard Thaler, spécialiste de l'économie comportementale, prix Nobel d'économie, et Cass Sunstein, l'un des plus grands juristes américains, nous invitent à expérimenter le nudge. Le nudge, c'est le monde des incitations douces, à l'image des parents éléphants qui donnent un léger coup de trompe à leurs petits pour leur permettre d'aller dans la bonne direction.
Ce livre, à l'origine du phénomène Nudge, s'appuie sur les recherches comportementales les plus poussées pour prendre de meilleures décisions. Il engage le lecteur à changer fondamentalement sa façon de penser, tout en préservant sa liberté de choix.
Mise à jour, enrichie et augmentée, cette édition analyse les effets du nudge et expose notamment les critiques formulées à son encontre. Elle intègre également de nouveaux thèmes majeurs : la Covid-19, la transparence de l'information, le sludge... Enfin, elle traite avec un regard neuf des questions telles que le changement climatique, le don d'organe, les finances personnelles...
Cette approche originale de l'économie comportementale nous donne un gentil coup de pouce (« Nudge » en anglais) pour aborder facilement des questions sérieuses.
Enfin un livre qui explique simplement l'économie, depuis les fondamentaux jusqu'aux notions plus complexes. L'économie vous apparaît trop complexe, et pourtant elle est l'affaire de tous !
Parce que vous sentez le besoin dans votre quotidien d'en comprendre les mécanismes, que vous n'avez eu aucune formation en économie, ou que vous cherchez des synthèses accessibles sur des concepts exigeants, les auteurs proposent une approche visuelle et originale de l'économie.
Qu'est-ce qu'un marché ? Quel est le rôle du consommateur ? Comment calcule-t-on le revenu réel ? Quels sont les différents types de croissance ? Qu'est-ce qu'une crise économique ? Pourquoi connaît-on des phases d'inflation ? Pourquoi les biens économiques sont-ils en quantité limitée ? La dette publique est-elle un problème ?
Grâce à 60 fiches en sketchnotes sur chaque notion essentielle, l'économie n'aura plus de secret pour vous et vous serez capable de décrypter les enjeux d'aujourd'hui !
Claire, Émilie et Boris, les auteurs, entendent ici rendre claire et accessible l'économie à l'aide de sketchnotes, pour nous permettre une approche visuelle et synthétique de chaque notion et concept.
Crise(s) aidant, l'économie tient le haut du pavé depuis plusieurs années, au point de nous submerger d'informations, d'analyses et de données dont le sens nous échappe souvent. D'autant que bien des idées économiques tenues pour vraies ne résistent pas à l'épreuve des faits : le libre-échange n'a jamais été la règle dans l'histoire, toutes les flexibilités se sont pas bonnes à prendre pour réduire le chômage, déficit budgétaire et dette publique ne sont pas sans vertu, la mondialisation n'est pas le triomphe du libéralisme sauvage, etc.
Il ne s'agit pas ici de prendre position pour ou contre telle ou telle approche, mais d'apporter un éclairage le plus objectif possible et accessible à tous, afin que chacun puisse se forger sa propre opinion et agir en conséquence. Parce que comprendre l'économie est un enjeu citoyen.
Faut-il repousser l'âge de la retraite ? Les chômeurs sont-ils fainéants ? Pourquoi faut-il craindre la déflation ? Sait-on comment financer la transition écologique ? Combien coûte l'évasion fiscale ?
Ces questions aussi diverses que variées font partie de notre quotidien mais il n'est pas toujours aisé de les poser et encore moins d'obtenir des réponses. Les autrices, spécialistes de ces questions, y ont répondu dans l'émission « Le pourquoi du comment :
économie et social » sur France Culture. Ces chroniques sont ici rassemblées pour rendre accessible au plus grand nombre le savoir économique et social.
À travers des fiches classées par thématiques, cet ouvrage pédagogique a pour objectif d'améliorer notre compréhension du monde et de la société. Une lecture indispensable pour mieux appréhender les enjeux économiques et sociaux actuels.
Depuis plus de 70 ans, nous pouvons suivre les aventures du célèbre Oncle Picsou et leurs richesses. Au-delà de l'animé, les aventures du plus célèbre des canards offrent un regard acerbe sur l'Amérique capitaliste des Trente Glorieuses et mettent en avant des concepts forts des sciences sociales et économiques comme la Loi de l'Offre et de la demande, le mythe du self made-man, l'histoire des pensées monétaires etc.
Offrant une véritable vision du monde, Picsou devient votre meilleur prof d'économie !
Thierry Rogel est agrégé de sciences sociales et enseignant du lycée à la préparation des concours d'enseignements.