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Rivages
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Surtout, ne contrariez pas john dortmunder.
Même si vous êtes milliardaire. or le richissime max fairbanks a passé les bornes. son crime ? interrompre dortmunder en plein cambriolage, ce qui est déjà grave en soi. mais avoir l'audace de lui subtiliser sa bague porte-bonheur sous le nez de la police, c'est trop ! malgré tout, dortmunder n'a pas l'intention de se laisser arrêter par deux vulgaires flics et s'empresse donc de leur fausser compagnie...
Grâce à la fermeture éclair de sa braguette (on est ingénieux ou on ne l'est pas). après quoi, il rassemble ses troupes. un objectif : la vengeance. un choix de cibles les somptueuses résidences de fairbanks. l'une après l'autre, elles seront mises à sac par dortmunder et consorts dans l'espoir de retrouver la fameuse bague. une précision : ce somptueux bijou n'est pas en or et les petites pierres qui brillent dessus ne sont pas des diamants.
Pour ceux que le doute habiterait encore, rappelons que le washington post a vu en donald westlake " l'homme le plus drôle du monde " et que le point l'a salué comme un " génie ".
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Par un samedi d'octobre ensoleillé, un homme court pour échapper aux chiens qui ont flairé sa piste, et à hélicoptère de la police qui tourne dans le ciel.
Le fuyard s'appelle Parker, c'est un criminel. En haut de la colline qu'il essaie d'atteindre se trouve un inconnu, vêtu d'une veste de chasse en cuir rouge. Il fait monter Parker dans sa voiture et l'emmène chez lui par des chemins détournés, lui permettant d'échapper au barrage de police.L'inconnu s'appelle Lindahl, il vit dans une petite bourgade, dans un garage converti en maison. L'intérieur en est sommaire.
Sur le poste de télévision, trône une grande cage abritant un perroquet.Lindahl est dans le besoin, réduit à chasser des lapins pour survivre depuis qu'il a perdu son emploi sur un champ de courses. Viré après avoir dénoncé les pratiques malhonnêtes qui s'y déroulaient. Sa femme l'a quitté. C'est un homme en colère. La rancoeur l'anime. L'arrivée de Parker va bouleverser sa vie.Nous avions laissé Parker, le héros noir et calculateur de Richard Stark « à bout de course » dans le roman précédent.
Le voici plus dangereux que jamais dans Demande au perroquet.
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A 2h25 du matin, dans une petite ville du Middle West, Parker balance un cocktail Molotov dans la vitrine d'une épicerie.
Pendant la diversion provoquée par l'incendie, il rejoint ses complices qui en ont profité pour dévaliser une banque locale. Mais ces nouveaux « associés » lui apprennent alors que l'argent du hold-up doit, essentiellement, financer un
« gros coup » à Palm Beach, auquel il est invité à participer. Parker n'aime pas qu'on lui force la main et refuse. Ce qui n'empêche pas la confiscation de la plus grande partie de son butin pour le projet.
Les « associés » auraient bien dû lui donner l'intégralité de sa part. Sinon, il valait mieux le tuer. Car Parker prend alors, sous une fausse identité, la direction de Palm Beach, bien décidé à se faire payer son dû et à détourner à son avantage le produit du « gros coup » en guise de compensation. Seul grain de sable : il n'avait pas prévu de tomber sur un homme aussi stupide que vraiment méchant, qui connaît sa véritable identité et souhaite sa mort.
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Difficile de trouver des complices convenables de nos jours. Parker, financièrement aux abois, a rejoint six autres types à Cincinnati pour s'emparer d'un stock d'or, mais il doit renoncer à ses plans lorsqu'il découvre que l'un d'eux porte un micro. C'est le début d'une série noire, car ensuite, le parfait imbécile qui les avait mis sur un coup d'enfer compromet tout par son émotivité et sa liaison avec la femme du banquier visé. Pour finir, un redoutable chasseur de prime débarque en plein braquage à la recherche du porteur de micro, que Parker a étranglé. Sans oublier les flics, qui ne vont pas tarder à s'en mêler. Parker se rend parfaitement compte que la situation est en train de lui échapper, mais il ne peut rien y faire. Et bien sûr, les choses dégénèrent.