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Surtout, ne contrariez pas john dortmunder.
Même si vous êtes milliardaire. or le richissime max fairbanks a passé les bornes. son crime ? interrompre dortmunder en plein cambriolage, ce qui est déjà grave en soi. mais avoir l'audace de lui subtiliser sa bague porte-bonheur sous le nez de la police, c'est trop ! malgré tout, dortmunder n'a pas l'intention de se laisser arrêter par deux vulgaires flics et s'empresse donc de leur fausser compagnie...
Grâce à la fermeture éclair de sa braguette (on est ingénieux ou on ne l'est pas). après quoi, il rassemble ses troupes. un objectif : la vengeance. un choix de cibles les somptueuses résidences de fairbanks. l'une après l'autre, elles seront mises à sac par dortmunder et consorts dans l'espoir de retrouver la fameuse bague. une précision : ce somptueux bijou n'est pas en or et les petites pierres qui brillent dessus ne sont pas des diamants.
Pour ceux que le doute habiterait encore, rappelons que le washington post a vu en donald westlake " l'homme le plus drôle du monde " et que le point l'a salué comme un " génie ".
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Un homme court à travers la campagne pour échapper aux chiens qui ont flairé sa piste et à l'hélicoptère qui tourne dans le ciel. Le fuyard s'appelle Parker, il vient de braquer une banque. Au sommet d'une colline, il tombe sur un inconnu en tenue de chasseur qui le fait monter dans sa voiture et l'emmène chez lui par des chemins forestiers, échappant ainsi aux barrages de la police. Lindahl - c'est le nom du chasseur - vit dans un garage converti en habitation. L'intérieur est sommairement meublé. Sur le poste de télévision allumé en permanence, trône une grande cage abritant un perroquet. Lindhal est un homme en colère et il voit en Parker l'occasion d'assouvir une vengeance. La présence de Parker va bouleverser sa vie à un point qu'il n'imaginait pas. « Qu'est-ce qui peut expliquer que ces romans soient si plaisants à lire (ou à relire) ? Au final, c'est Parker. Même quand on sait ce qu'il va faire, c'est tout simplement fascinant de le regarder faire. » (Lawrence Block) « Les romans consacrés à Parker, le professionnel du crime, sont à mon avis des chefs-d'oeuvre qui transcendent la fiction policière pour la hisser au rang de littérature. » (John Banville)
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A 2h40 du matin, dans une petite ville du Middle West, Parker balance un cocktail Molotov dans la vitrine d'une épicerie. Pendant la diversion provoquée par l'incendie, il rejoint ses complices qui en ont profité pour dévaliser la banque locale. C'est alors que ces derniers lui apprennent que l'argent du hold-up doit en fait servir à financer un « gros coup » à Palm Beach auquel il est invité à participer. Mais Parker, qui n'aime pas se laisser dicter sa conduite, refuse la proposition. Moyennant quoi il est privé de sa part de butin.
Il aurait sans doute mieux valu le supprimer, car il va se venger. Muni de faux papiers et d'un compte en banque bien garni, il prend la direction de Palm Beach, décidé à détourner à son avantage le produit du fameux « coup ».
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Après avoir dû renoncer à un casse parce que l'un de ses comparses portait un micro, c'est un coup formidable qui se trouve compromis par la maladresse d'un des complices de Parker. Mais sa poisse ne fait que commencer : un tueur à gages, puis les flics, s'en mêlent. Parker se rend parfaitement compte que la situation est en train de lui échapper, mais ne peut rien y faire. Les choses dégénèrent et la situation devient alors incontrôlable...