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Le printemps est la saison par excellence du renouveau de la nature et de l'éveil de tous les sens. Particulièrement mélodieuse et dansante, c'est un motif de prédilection pour les musiciens, les peintres ou les danseurs... Les poètes et les romanciers ne sont pas en reste pour le fêter. Temps idéal de la fête, des sorties, de l'échange et de la rencontre, saison suprême de la passion, de l'amour charnel, d'une sensualité exacerbée : il se confond avec la littérature. Mais le printemps est aussi le temps où les pulsions individuelles alimentent les plus mémorables révoltes collectives, les guerres ou les révolutions. De fait, le printemps est la moins uniforme des saisons... Balades en compagnie Fernando Pessoa, Charles Juliet, Jean Giono, Virginia Woolf, Henry Miller, Boccace, Louis Aragon, Régine Deforges, Milan Kundera, Henry D. Thoreau, George Sand, Colette, Fiodor Dostoïevski, Yukio Mishima, et bien d'autres...
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Textes choisis et présentés par Emmanuelle de Jesus-Tritz
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Le goût de la poésie amoureuse
Collectif
- Mercure de France
- Le Petit Mercure
- 8 Février 2018
- 9782715247246
L'expérience poétique consiste à mettre des mots sur le mystère, notamment l'amour. Question de rencontres, d'affinités (s)électives, l'amour et la poésie s'inventent, s'étreignent, et convolent en justes noces. La voix du poète est tributaire d'une expérience qui, au fil des années et des pages, l'impose avec une force, une gravité de plus en plus poignante, prégnante. Le cours du langage se resserre et rive le poème à l'essentiel, quand l'embouchure de l'existence se rapproche irrémédiablement de sa source. «Le poème est l'amour réalisé du désir demeuré désir» écrit précisément René Char. Balade en compagnie de Pierre de Ronsard, Jean de La Fontaine, Friedrich Holderlin, Alphonse de Lamartine, John Keats, Victor Hugo, Charles Baudelaire, Stéphane Mallarmé, Arthur Rimbaud, Rabindranath Tagore, Paul Valéry, Louis Aragon, Paul Éluard, Jacques Prévert, Pablo Neruda, Yves Bonnefoy, Adonis, François Cheng, Joseph Brodsky, Nimrod et bien d'autres...
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Les écrivains aiment les chats. Certains ont même été inspirés par leurs chats au point de leur donner, parfois, la parole. À lire l'abondante littérature consacrée au chat, on perçoit bien vite que celui-ci, qu'il soit mâle ou femelle, est, par essence, défini comme exclusivement féminin - le principe masculin étant plutôt dévolu au chien. Le chat apparaît comme la quintessence de la féminité et le mythe du chat métamorphosé en femme le plus récurrent des fantasmes de nos écrivains ! Muse idéale, beauté androgyne troublante, premier lecteur indulgent ou critique sévère, le chat s'impose comme un auxiliaire indispensable de l'oeuvre et de la vie de l'écrivain. Alors, chats écrivains ou écrivains chats ?
Entre caresses et ronronnements, voici quelques éléments de réponse en compagnie de Charles Baudelaire, Paul Morand, Charles Perrault, Alexandre Dumas, Edgar Poe, Lewis Carroll, Stephen King, Marcel Aymé, Anne Duperey, Paul Léautaud, Colette, Tennessee Williams et bien d'autres...
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Textes choisis et présentés par Franck Médioni
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Le goût de la poésie française
Collectif
- Mercure de France
- Le Petit Mercure
- 10 Mars 2022
- 9782715259218
Cette anthologie propose une large palette d'écritures poétiques, forcément multiple de par la variété de ses formes, la diversité de ses chemins, le registre étendu de ses voix. C'est la langue française qui la gouverne, et non pas la nationalité des poètes. La poésie française présentée ici offre un paysage contrasté, que ce soit une poésie inspirée, habitée de profondeurs sensibles, de vertiges métaphysiques, ou bien de «la poésie qui ne la ramène pas», pour citer Christian Prigent. Tous les «styles» d'écritures sont mis en présence:vers réguliers ou libres, proses poétiques, minimalisme ou ampleur, oralité ou spatialisme, modernité affichée et militante ou jeu avec les formes fixes héritées de la tradition, écritures fragmentées... Bouquet varié de joies, d'inquiétudes et de beautés en compagnie de Villon, Marot, Ronsard, Racine, Voltaire, Lamartine, Vigny, Hugo, Nerval, Corbière, Rimbaud, Maeterlinck, Segalen, Apollinaire, Reverdy, Aragon, Michaux, Prévert, Senghor, Char, Des Forêts, Du Bouchet, Bonnefoy, Jaccottet, Butor, Venaille, Novarina, Bianu et bien d'autres...
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Textes choisis et présentés par Elsa Gribinski.
« Au commencement était le Verbe, et le Verbe était avec Dieu ; et le Verbe était Dieu » : telle est parole d'Évangile, dit-on, celui de saint Jean. Les mots désignent des choses, des idées, des concepts. Mais sont-ils toujours en adéquation exacte avec ce qu'ils sont supposés dénommer ? Telle est la grande question que soulève leur maniement, celle du nommable et de l'innommable, du dicible et de l'indicible. Manier les mots, c'est en connaître non seulement le sens mais aussi le pouvoir. Souvent les mots sont des armes : qui maîtrise le langage peut aussi envisager, un temps, dominer le monde. Pourtant, dire le monde, le dominer par et avec les mots, devient parfois simplement impossible, voire ridicule. Mieux vaut dès lors en rire. Les goûteurs de mots et les joueurs de mots se rejoignent dans le partage d'un même état d'esprit à la fois érudit, poétique et ludique.
Voyage dans cette Babel revisitée en compagnie de Borges, Platon, Apollinaire, Rimbaud, Proust, Jonathan Swift, Sartre, Cervantès, Shakespeare, Hugo, Mishima, Beckett, Rabelais, Leiris, Lewis Carroll, Raymond Devos, Pascal Quignard, Alphonse Allais, Queneau, Jarry, Genet, Joyce, et bien d'autres.
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La littérature doit beaucoup aux arbres : sans eux, point de livres... Il est donc tout naturel de les trouver nombreux, et par forêts entières parfois, au détour des pages. Pour tous les goûts, pour tous les âges : chêne de la fable de La Fontaine, forêts angoissantes des contes de Grimm, arbres des légendes africaines ou amérindiennes, Saule-Cogneur du cycle Harry Potter... Les arbres accompagnent les lecteurs et les écrivains toute leur vie durant. Ils sont liés à un moment de notre histoire personnelle. Aujourd'hui, alors que la déforestation fait rage et que les arbres disparaissent, on ne compte plus les livres qui traitent de la mémoire des arbres ou de leur vie secrète...
Balade en compagnie de Guillaume Apollinaire, Victor Hugo, Théophile Gautier, Jules Renard, José-Maria de Heredia, Federico García Lorca, Paul Claudel, Jacques Prévert, Michel Tournier, Jean Giono, Marcel Pagnol, Jorge Semprun, JMG Le Clézio, Miguel de Cervantès, Jean-Marie Rouart et bien d'autres...
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Qu'est-ce que le théâtre ? Pour Molière, c'est l'«étrange entreprise [...] de faire rire les honnêtes gens». Victor Hugo y voit un art qui «doit faire de la pensée le pain de la foule», et Louis Jouvet «un objet qui soit comme un vrai objet et qui soit faux». Siècle après siècle, le théâtre fourmille de trajectoires romanesques en diable, de songes et de rêveries, de conflits et de complots, de drames et de passions. Témoin de l'Histoire, du temps, de l'évolution des moeurs et des révolutions esthétiques, il secoue, provoque, séduit, traite d'à peu près tout et cultive aussi bien la surprise que l'émerveillement. Flânerie à travers les rages et les espoirs de quelques caractères bien trempés qui n'ont jamais sacrifié leur talent au moule du conformisme, ce «goût du théâtre» se savoure en compagnie de Sarah Bernhardt, Bertolt Brecht, Albert Camus, Jacques Charon, Denis Diderot, Alexandre Dumas, Dario Fo, Charles Dullin, Eugène Ionesco, Henry de Montherlant, Giorgio Strehler, Jean Vilar...
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Le goût de la philosophie
Collectif
- Mercure de France
- Le Petit Mercure
- 14 Février 2019
- 9782715245082
«Connais-toi toi-même», «deviens ce que tu es»... Publicités et réseaux sociaux regorgent aujourd'hui de ces aphorismes et on ne compte plus les livres colorés autour du bonheur, de l'amour et de la construction de soi - thèmes philosophiques par excellence. Pourtant la philosophie reste souvent perçue comme une matière aride. Platon, Nietzsche, Descartes, Kant intimident encore. Revenir aux sources, savoir pourquoi et comment les grands auteurs ont décidé de consacrer chaque jour de leur vie à cette discipline pour trouver des sources infinies de consolation et de joie, depuis l'Antiquité, jusqu'à mourir pour elle, telle est l'une des missions de cette anthologie. Les grands philosophes côtoient ici les romanciers, artistes, cinéastes ou chanteurs qui évoquent, à la première personne, le plaisir de philosopher. Balade en compagnie de Socrate, Aristote, Épictète, Voltaire, Bergson, Marcel Proust, Montaigne, Albert Camus, Simone Weil, Charlie Chaplin, René Magritte, Michel Houellebecq, Bob Dylan, Woody Allen et bien d'autres...
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Métaphysiques, à la française, anglais, artificiels, de curés, de paradis, d'éternité, de fiction ou d'images... les jardins sont multiples. D'Homère à Marguerite Duras, de Virgile à Marcel Proust, de Gustave Flaubert à Amélie Nothomb, de Mme de Sévigné à Renaud Camus, ils sont omniprésents dans la littérature, toutes époques et tous genres confondus. Imaginaires pour les uns (la Genèse, Ésope, La Fontaine), objets de traités savants pour d'autres (Walpole), mais aussi lieux affectifs (Chateaubriand, George Sand, Colette), moyens d'expression d'un pouvoir (Louis XIV), de connaissance (Jardin des Plantes), de loisir (parc des Buttes-Chaumont), ils suscitent l'engouement et parfois la passion. Structurés ou fous, ils ont tous un même goût de liberté qui nous raccroche plus ou moins consciemment à notre enfance, et à celle de l'humanité...
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Souvenirs culinaires
Auguste Escoffier
- Mercure de France
- Le Temps Retrouvé
- 11 Septembre 2014
- 9782715235595
Surnommé, à l'instar de Carême, « le roi des cuisiniers, le cuisinier des rois », Auguste Escoffier (1846-1935) est le père de la cuisine à la française. Il passe pour avoir inventé le travail par « brigade » : les différentes parties d'une cuisine ont chacune un chef à leur tête, lequel a sous ses ordres un premier et plusieurs commis. Cela impose une organisation à la cuisine, avec des recettes spécifiques, mêlant tradition et originalité. Même dans les moments de grande presse, ce système permet à Escoffier de rester « toujours suprêmement calme ». En 1883, le chef rencontre César Ritz, et le duo va révolutionner définitivement la cuisine et l'hôtellerie, au Savoy, au Ritz, puis au Carlton de Londres : c'est la naissance des « palaces » modernes.
Auguste Escoffier a laissé des souvenirs, notes longtemps éparpillées qui ont été rassemblées par son fils, Paul, à sa mort en 1935. Récit autobiographique classique suivant les grandes étapes d'une carrière de cuisinier réformateur, ces Souvenirs culinaires contiennent aussi des recettes, des menus, et des remarques sur les saveurs et les ingrédients. Un texte de vie et de cuisine, qui donne à voir aussi bien la salle à manger que les coulisses d'un palace, et qui souligne les idées modernes et humanistes d'un chef qui est également un philanthrope.
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L'humour, une révolte supérieure de l'esprit ? Maximes, pensées, aphorismes, brèves de comptoir, blagues, l'humour provoque la surprise et le (sou)rire. Il y souffle l'esprit, l'irrévérence, la sagesse, la dérision, la provocation, la poésie, la beauté, la révolte, la liberté. Les auteurs de cette anthologie sont écrivains, poètes, philosophes, comédiens, hommes politiques, humoristes ou mauvais garçons, et tous mettent
la langue en fête : Alphonse Allais, Woody Allen, Beaumarchais, Winston Churchill, Tristan Corbière, Georges Courteline, Pierre Desproges, Raymond Devos, Alexandre Dumas, Jacques Dutronc, Georges Feydeau, Gustave Flaubert, Anatole France, Victor Hugo,
Eugène Labiche, Groucho Marx, Molière, Montaigne, Jules Renard, Mme de Sévigné, Mme de Staël, Mark Twain, Voltaire, Oscar Wilde, Jean Yanne et bien d'autres... -
Textes choisis et présentés par Jacques Barozzi
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Textes choisis et présentés par Pierre Haroche
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Sur le ton de la confidence, Françoise Dolto, avec des mots simples et audacieux, ose aborder ce sujet tabou à notre époque: la mort. Comment en parler avec ceux qui vont mourir, avec ceux qui n'ont plus envie de vivre, avec ceux qui ont perdu un être cher ?
Comment parler de la mort avec les enfants ?
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Textes choisis et présentés par Barbara Lambert
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Textes choisis et présentés par Pascale Lismonde
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Mémoires de Luther écrits par lui-même
Martin Luther
- Mercure de France
- Le Temps Retrouve
- 16 Février 2023
- 9782715261273
Luther écrivait de nombreuses lettres, et parlait beaucoup. Des disciples, à côté de lui, prenaient aussitôt en note ce qu'il disait, au jardin, à table, au coin du feu après le dîner. Voilà pourquoi Michelet peut écrire que les confessions de Luther sont «éparses, involontaires, et d'autant plus vraies». Avec la pénétration et la générosité qu'on lui connaît, Michelet a traduit et assemblé les moindres souvenirs, les moindres «pages de journal» échappés de la plume ou des lèvres de Luther. Il a composé ainsi une autobiographie à la fois rigoureuse et vivante, spontanée. Le Luther théologien, réformateur, insurgé contre le pape, sujet aux visions, combattant politique, apparaît alors dans toute sa fougue. Cela permet au lecteur de suivre avec passion, et comme s'il accompagnait réellement Luther, l'une des plus hautes aventures de l'esprit.
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Mémoires intimes de Napoléon Ier par Constant, son valet de chambre Tome 1
Constant
- Mercure de France
- Le Temps Retrouve
- 2 Novembre 2017
- 9782715246874
Napoléon n'a jamais cessé d'être un objet de fascination. On parle de lui ; on le fait parler ; on interprète les énigmes de sa vie, où les faits éclatants ne sont pas toujours moins mystérieux que les points réputés obscurs. On sait tout de lui - et à peu près rien ; d'où, transparent et insaisissable, son mythe. C'est qu'il parle peu. Entendre sa voix, vivre au jour le jour dans l'intimité de l'empereur, assister à son lever, à ses colères, à son divorce, percevoir, d'un grand homme, moins ce qui est grand que ce qui est homme - commun, quotidien, émouvant dans cela même qui le fait plus vivant et plus semblable à nous : cette chance unique a un nom, Constant. Introuvables depuis fort longtemps, voici les Mémoires de celui qui fut son compagnon de chaque instant. Valet de chambre de l'empereur, Constant fut à la fois son secrétaire et son confident. Voici, derrière ses souvenirs, le journal intime de Napoléon.
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L'architecture du bonheur
Alain de Botton
- Mercure De France
- Bibliotheque Etrangere
- 13 Septembre 2007
- 9782715226630
S'il est vrai que les bâtiments et les objets d'ameublement que nous qualifions de beaux évoquent des aspects du bonheur, on pourrait néanmoins demander pourquoi nous trouvons une telle évocation nécessaire.
Pourquoi ce que notre environnement a à nous dire serait-il si important ? pourquoi les architectes devraient-ils se soucier de concevoir des bâtiments qui expriment des sentiments et des idées spécifiques ? pourquoi sommes-nous si vulnérables à ce que disent les espaces où nous vivons ? depuis plusieurs livres déjà, alain de botton s'intéresse à notre bonheur et cherche les moyens de nous rendre plus heureux.
Après la lecture de proust, puis celle des grands philosophes, l'art de mieux voyager et l'importance de notre statut social, voici qu'il se penche sur notre cadre de vie et plus particulièrement sur l'architecture des lieux où nous vivons et travaillons. en quoi l'un et l'autre influencent notre mode de pensée, notre façon de nous comporter, en bref notre existence au quotidien, tel est le sujet de l'architecture du bonheur.
Faisant preuve comme toujours d'une éblouissante érudition - et de beaucoup d'humour -, alain de botton nous entraîne de paris à tokyo, de londres à brasília, du kent à l'engadine, et bien d'autres lieux encore, à la recherche de la maison idéale.
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Mille jours en Toscane
Marlena De blasi
- Mercure De France
- Bibliotheque Etrangere
- 6 Mai 2011
- 9782715231979
Depuis notre premier soir à San Casciano, le bar du village est devenu une véritable annexe de notre maison. Les habitués nous ont adoptés et s'ingénient à nous faciliter la vie. II y a un téléphone au mur et quand je parle à mes enfants, à mon agent à New York ou à mes éditeurs en Californie, tout le monde se tait en imaginant que je discute avec le président des Etats-Unis. Le Centrale est notre bureau, notre PC, notre refuge. je commence à comprendre pourquoi certains Italiens, avant de choisir un appartement, vérifient si le bar le plus proche leur conviendra... Après un double coup de foudre dans un bar de Venise et un mariage romantique à l'église du Lido, Marlena, dynamique critique gastronomique américaine, et Fernando, son Vénitien de mari, ont décidé, mille jours plus tard, de s'installer en Toscane. A San Casciano, à peine deux cent cinquante habitants, ils vont vite être la coqueluche des villageois. On s'échange des recettes de cuisine (soigneusement consignées dans ce livre), on fait ensemble les vendanges, la récolte des châtaignes, la cueillette des olives, la chasse aux cèpes et aux truffes. Et Marlena, avec un enthousiasme communicatif, nous fait aussi participer à toutes les fêtes locales dans des pages pleines de saveurs, d'odeurs et de couleurs.
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Il est né en 1613. Il n'est toujours pas mort. Quatre cents ans d'intrigues amoureuses, de manoeuvres politiques, de regards séducteurs et de duels implacables n'ont rien altéré de sa fougue, et sans doute est-il immortel. Il est la légende et la vérité. L'histoire et le roman dans sa vie se rencontrent, ils se plaisent, ils se marient.On le verra dans ces mémoires apocryphes, rédigés peu après la mort du maréchal d'Artagnan par un témoin oculaire : le divorce n'est pas pour demain. D'Artagnan est là, jour après jour, bataille après bataille, dans sa vie réelle, entre les éminences, les altesses et les reines. Mais il est déjà un mythe, une personne et un personnage, un portrait de Saint-Simon et un héros d'Alexandre Dumas. Infatigable et passionnant, vrai comme la fiction et incroyable comme la vérité.