Louis Vuitton Fashion Eye est une collection d'albums photographiques qui donne à voir une destination à travers l'oeil d'un photographe de mode. Elle instaure un dialogue inédit entre des talents émergents, des photographes chevronnés et des légendes de la photographie de mode ; Fashion Eye met en regard la création actuelle et des trésors d'archives méconnus pour constituer une collection d'ouvrages de référence, tant dans son approche que dans son esthétique.
Louis Vuitton Fashion Eye est une collection d'albums photographiques qui donne à voir une destination à travers l'oeil d'un photographe de mode. Elle instaure un dialogue inédit entre des talents émergents, des photographes chevronnés et des légendes de la photographie de mode ; Fashion Eye met en regard la création actuelle et des trésors d'archives méconnus pour constituer une collection d'ouvrages de référence, tant dans son approche que dans son esthétique.
Louis Vuitton Fashion Eye est une collection d'albums photographiques qui donne à voir une destination à travers l'oeil d'un photographe de mode. Elle instaure un dialogue inédit entre des talents émergents, des photographes chevronnés et des légendes de la photographie de mode ; Fashion Eye met en regard la création actuelle et des trésors d'archives méconnus pour constituer une collection d'ouvrages de référence, tant dans son approche que dans son esthétique.
Miles Aldridge découvre Cordoue pour la première fois en 1989, pendant la Semaine Sainte. Il est étudiant et vit alors une expérience qui le marque profondément, lui laissant de fortes sensations visuelles, sonores et olfactives. Depuis, il est retourné régulièrement dans la ville pour ce moment particulier.
Pour ce Fashion Eye, Miles Aldridge revisite ses premières impressions de la Semaine Sainte, sous l'influence de Federico García Lorca. À rebours de son travail en studio, il réalise ses images au Leica, en lumière naturelle. Le politique, la religion, la famille, le kitsch se mêlent aux éléments surréalistes dans une profusion de perceptions, en couleur et noir et blanc.
Louis Vuitton Fashion Eye est une collection d'albums photographiques qui donne à voir une destination à travers l'oeil d'un photographe de mode. Elle instaure un dialogue inédit entre des talents émergents, des photographes chevronnés et des légendes de la photographie de mode ; Fashion Eye met en regard la création actuelle et des trésors d'archives méconnus pour constituer une collection d'ouvrages de référence, tant dans son approche que dans son esthétique.
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Louis Vuitton Fashion Eye est une collection d'albums photographiques qui donne à voir une destination à travers l'oeil d'un photographe de mode. Elle instaure un dialogue inédit entre des talents émergents, des photographes chevronnés et des légendes de la photographie de mode ; Fashion Eye met en regard la création actuelle et des trésors d'archives méconnus pour constituer une collection d'ouvrages de référence, tant dans son approche que dans son esthétique.
Dès les années 1950, Saul Leiter déchiffre New York dans un éclat esthétique novateur. Il compose avec des pellicules panchromatiques mais aussi parfois en noir et blanc des images flirtant avec l'abstraction. En multipliant les cadres dans le cadre, il joue des reflets et des mouvements, met en perspectives des façades, des vitrines. À Manhattan, les passants anonymes qu'il croise deviennent sur ses diapositives des acteurs de la scène new-yorkaise. En 1989, l'iconique magazine Six publié par Rei Kawakubo, créatrice de Comme des garçons, donne une carte blanche à Saul Leiter. Lui qui ne photographiait plus arpente à nouveau New York comme il le faisait des décennies auparavant...
Longtemps Suzanne a eu le premier rôle.
C'était elle l'inspiratrice et l'héroïne de ces fictions d'une seconde. C'était comme si, dans son corps, s'était inscrite une histoire je ne savais pas très bien laquelle, une histoire solitaire et hors du temps, la sienne, la mienne ou celle d'une autre, je ne sais pas, mais je reconnaissais dans cet instant où je déclenchais comme la dernière image d'un film au ralenti que j'aurais déjà vu.
Sarah Moon, 1,2,3,4,5 Elle avance dans l'allée, repliée sur son secret, longue, mince. Elle passe, a passé entre les fauteuils vides d'un compartiment de l'Orient Express. On la voit de dos, en fuite.
En décembre 1962, Harper's Bazaar invite Melvin Sokolsky à photographier les collections de printemps à Paris. Le photographe a son idée : les mannequins flotteront dans une sphère transparente en apesanteur... Une habile démonstration d'artifice qui va susciter une réaction véhémente du public. Les passants médusés sont intégrés à l'image, qui flirte ainsi avec la photographie de rue.
Deux ans après Bubble, pour les collections du printemps 1965, le photographe propose à Harper's Bazaar de faire éclater la bulle. Dans la série Fly, Melvin Sokolsky, plutôt qu'à la beauté des vêtements, s'intéresse au corps féminin, qui leur confère structure et drapé. Lieu, stylisme et lumière s'accordent ici avec une rare perfection.
Helmut Newton, Australien d'origine allemande, quitte la France en 1981 pour s'installer avec son épouse Alice Springs à Monaco car, dit-il : « J'aime le soleil, il n'y en a plus à Paris. » De la terrasse de sa demeure, au 19e étage d'un gratte-ciel, il surplombe la principauté et observe ses sujets, quand il ne se rend pas en Jeep au Monte Carlo Beach Hôtel. Sous son objectif, il éclaire par des situations scabreuses les forces du pouvoir, de l'argent et du sexe. Dans le décor d'un quotidien monégasque, entre piscines et palmiers, béton et bleu azuréen, ses modèles prennent pose dans la provocante et légendaire grammaire visuelle toute newtonienne.
Louis Vuitton Fashion Eye est une collection d'albums photographiques qui donne à voir une destination à travers l'oeil d'un photographe de mode. Elle instaure un dialogue inédit entre des talents émergents, des photographes chevronnés et des légendes de la photographie de mode ; Fashion Eye met en regard la création actuelle et des trésors d'archives méconnus pour constituer une collection d'ouvrages de référence, tant dans son approche que dans son esthétique.
À force de photographier les inaugurations, discours officiels et autres réalisations au service du peuple, le photographe fonctionnaire chinois qu'est Feng Li a détourné quelque peu son appareil photo pour capturer ses concitoyens de la ville de Chengdu. Un regard parfois féroce, souvent drôle, toujours sujet aux réactions les plus vives.
En résidence à Paris, Feng Li porte un oeil inédit, aussi acidulé que décalé, sur la Ville Lumière et ses habitants.
Traversé par des événements heureux comme la victoire de la Coupe du Monde de football, ou par quelques râleries parisiennes caractéristiques, son livre parvient à éviter les clichés. Une vision décomplexée et irrévérencieuse d'un Paris haut en couleur !
Sous le prisme du photographe allemand, Berlin, la sensuelle, déploie ses ailes du désir, sombre et pleine de vie. Les images se croisent, se regardent, s'apostrophent sans forcément se répondre. Cet album berlinois, composé de visages et façades, de corps et paysages, brosse le portrait capital d'une ville ouverte la nuit. Les clichés, principalement en noir et blanc, reflètent une beauté austère. Dans des lieux incertains, les coulisses d'un cabaret, une silhouette, un regard, une cambrure, des jambes tendues ou au repos, une cigarette racontent une histoire intime. Ainsi, dans les nuits blanches de Berlin, Peter Lindbergh recherche un fragment de vérité.
Louis Vuitton Fashion Eye est une collection d'albums photographiques qui donne à voir une destination à travers l'oeil d'un photographe de mode. Elle instaure un dialogue inédit entre des talents émergents, des photographes chevronnés et des légendes de la photographie de mode ; Fashion Eye met en regard la création actuelle et des trésors d'archives méconnus pour constituer une collection d'ouvrages de référence, tant dans son approche que dans son esthétique.
Ni photographe d'intérieurs, ni photographe de décoration, François Halard se définit tel un chasseur d'âmes représentant des lieux habités et vivants. Il pose ici son regard sur la Grèce, la sienne : « Il n'y a pas l'Acropole, ni certains lieux emblématiques. Il ne s'agit pas d'une vision exhaustive, ni d'un catalogue raisonné.
Comme tout voyage, c'est un voyage intime, voire imaginé. » Sculptures antiques, architectures et paysages se succèdent dans des lavis de bleu, à l'ombre des maisons de l'île de Symi, sur laquelle plane la figure tutélaire de Cy Twombly.
Une commande de reportage photographique pour le magazine de bord de la compagnie aérienne KLM fait partir pour la première fois Vincent Van De Wijngaard au Maroc. Il y réalisera une série de mode.
Sensible à la juxtaposition de couleurs spécifique au pays, le photographe se focalise sur une quête de lumière, chère à Henri Matisse qu'il admire au point d'avoir réservé à Tanger la même chambre que lui pour pouvoir contempler la vue qu'il avait peinte. L'ouvrage, fruit de nombreux séjours, représente un voyage photographique privilégiant l'instantanéité des ambiances avec un attachement particulier à la narration et à l'écriture cinématographique.
Un ensemble de photographies prises à Bali, à Lombok et sur les îles Gili, montrant les habitants et les paysages de ces endroits luxuriants.
Le duo Synchrodogs, formé de Roman Noven et Tania Oldyork, arpente régulièrement à moto les Carpates ukrainiennes. La série « Slightly Altered », fruit de plusieurs voyages à travers ces montagnes, livre une réflexion originale sur le rapport intime de l'homme à la nature et de sa course vers une catastrophe annoncée.
Entre paysages, danse et performance, ils dénoncent ainsi la déforestation, l'extinction d'espèces menacées.
Une perception nouvelle où rêves et nature sont invoqués, une sorte de land art qui flirterait avec la photographie de nu, même si certains y verront, sans avoir peur des clichés, un pied de nez aux années soviétiques qui réservaient le corps dénudé aux tableaux de grands maîtres.
Photographié par Sølve Sundsbø, la Colombie-Britannique révèle dans une immensité déconcertante la beauté sauvage de la nature. Voilà maintenant treize saisons, par amour du ski, que l'artiste retrouve cette province canadienne à la marge du Pacifique pour descendre les pentes enneigées des Selkirk. Une expérience de liberté qui lui permet de saisir au plus près la vérité nue d'un monde en soi. En une série de quarante-et-une images, montagnes et moraines, cimes et vallées, forêts et rivières apparaissent impérieuses. L'écriture photographique de British Columbia mythifie les paysages en sublimant les éléments qui les composent. Sølve Sundsbø porte un autre regard sur ces territoires abrupts.
Des photographies de tissus, de foulards, de voiles et de visages qui présentent l'Iran, entre ombres et lumières.
Déambulation du photographe dans les rues de Genève sur les traces d'un amour de jeunesse.