D'Elephant Man à Blue Velvet, de Twin Peaks à Mullholand Drive, David Lynch s'est établi en véritable maître de l'étrange. Au fil d'une oeuvre nimbée de mystère, il nous ouvre les portes d'un univers à deux visages où le beau cohabite avec le monstrueux, où le bien côtoie le mal, où l'innocence rencontre la perversité et où la réalité vacille au bord du rêve. Dans ce jeu de faux-semblants, la tranquillité apparente d'une petite ville américaine peut dissimuler les plus inquiétants secrets... Des secrets que Rockyrama se propose ici, non pas de percer, mais d'embrasser. Une virée aux confins de l'Amérique cauchemardesque de David Lynch qui vous invitera à passer de l'autre côté du miroir.
Avec son 38e numéro, Rockyrama replonge dans la galaxie de George Lucas, pour y célébrer dignement les quarante ans du Retour du Jedi ! Après le succès que nous ont réservé nos lecteurs, en 2020, avec le numéro consacré à L'Empire contre-attaque, Rockyrama retourne aux confins de l'univers Star Wars. Entre les pages de ce premier numéro de l'année, un dossier complet qui retrace la genèse du dernier épisode d'une trilogie qui marqua de son empreinte toute l'histoire de la pop culture. Un numéro à posséder pour compléter sa mini-collection Star Wars. Place à Dark Vador, à Luke Skywalker et à la Princesse Leia, pour un dernier voyage dans une galaxie lointaine, très lointaine...
Dans ce numéro de printemps, un dossier sur la foi, et la façon dont les usages numériques transforment notre rapport à la transcendance ; un dossier sur la progressive disparition de la nuit ; et aussi, la protection des droits des activistes climatiques, un reportage sur le fentanyl, et une galerie sur la solastalgie.
Grand dossier : Les nouvelles routes de la foi Fréquenter TikTok rend-il forcément platiste ? Pourquoi les catholiques intégristes discutent-ils sur Discord ? La méditation est elle soluble dans les algorithmes ? Dans ce dossier, Usbek & Rica explore les mécanismes contemporains de la croyance, et en particulier la manière dont les nouveaux usages et outils numériques transforment notre rapport à la foi.
Second dossier : Où est passée la nuit ?
Menacée par le télétravail, la pollution lumineuse, la lumière bleue des écrans ou encore le réchauffement climatique, la nuit semble en voie d'extinction. À moins qu'elle ne soit déjà morte. Partant de cette dernière hypothèse, nous avons cherché à comprendre où donc ont bien pu passer nos ténèbres.
Dossier 1 : Mourir mieux : comment nous réconcilier avec la mort Pitch dossier 1 : Conversations virtuelles avec les défunts, rituels funéraires moins sinistres, ouverture de « Cafés mortels », création d'une Sécurité sociale de la mort, abattoirs mobiles pour les animaux d'élevage... Dans ce dossier, Usbek & Rica explore différentes pistes pour cesser de mettre la mort « sous le tapis » et envisager le dernier voyage plus sereinement.
Dossier 2 : Afrofuturisme, réservoir d'utopies Pitch dossier 2 : Depuis le succès en 2018 du film Black Panther, le monde semble (re)découvrir les imaginaires véhiculés par l'afrofuturisme. Tant mieux puisque ce mouvement, qu'il serait dommage de réduire à un simple folklore cosmico-pharaonique, est précieux pour raconter l'identité noire autant que pour renouveler la pensée écologiste et ouvrir de nouveaux horizons artistiques.
Après un premier opus qui vous invitait à remonter le temps, Les pieds dans la mayonnaise remet le couvert avec un deuxième tome qui part à la découverte de ces grandes et petites histoires qui jalonnent le cinéma, la télé et la culture française « d'avant ». Au menu, le gargantuesque festin d'Astérix et la visite de Philippe Sarde, compositeur génial de La Grande Bouffe ; un détour par le cinéma d'Henri Verneuil que l'on redécouvre avec le temps, avec Le Clan des Siciliens et son inoubliable thème signé Ennio Morricone ; un portrait de Delphine Seyrig à la voix mystérieuse, féministe et engagée... Nous terminerons le dîner en compagnie de Michel Berger, Jacques Prévert ou Philippe Dana, qui nous raconte ici ses années Canal et Ça cartoon. Bref, un aller simple vers les souvenirs les plus gourmands du cinéma et de la télé française, entre rires, larmes et tendresse. Préparez votre plus belle serviette, le repas s'annonce copieux !
Voilà cinquante ans déjà que l'édifice indépassable de Francis Ford Coppola règne sans partage sur le genre du film de gangsters. Cinquante ans que Don Corleone et sa famille ont donné le « la » et ouvert la voie à toutes celles et ceux qui voudraient se frotter à la mafia. Dans ce 36e numéro, Rockyrama s'invite à la table de l'une des plus célèbres familles de l'histoire du cinéma pour plonger dans le grand oeuvre de Francis Ford Coppola, revenir aux origines du mythe et vous raconter pourquoi Le Parrain est finalement le premier vrai blockbuster, avant que ne sonne l'heure des Dents de la mer. Rockyrama s'infiltre chez Marlon Brando et les siens dans un numéro rouge sang et sauce tomate.
Que serait le cinéma daujourd4hui sans l'oeuvre colossale de Steven Spielberg ? Au fil dune carrière fascinante et dune oeuvre aux mille visages, il est celui qui a façonné des images restées profondément ancrées dans nos mémoires de spectateurs. Dans ce livre nous embrasserons la troisième et dernière partie de l'oeuvre du cinéaste. Depuis son passionnant travail en motion capture sur Les Aventures de Tintin jusquà la grandiose réinterprétation du classique de Broadway, West Side Story, en passant par Pentagon Papers ou Ready Player One. Dans ce dernier tome, Rockyrama entreprend de jeter un peu de lumière sur tout un pan du cinéma de Spielberg pour mettre une troisième fois à lhonneur le wonderboy qui domina le cinéma américain.
Au programme de ce nouveau numéro : Dossier principal : Comme l'avait vu l'anthropologue David Le Breton dès la fin des années 1990, nous avons tendance à fuir notre enveloppe corporelle naturelle, encombrante et frustrante, mais moins en l'augmentant (modèle cyborg) qu'en l'abandonnant sans forcément en avoir conscience (modèle avatar). Finira-t-on comme dans le film Ready Player One, le casque de VR vissé sur la tête pour fuir une réalité trop déprimante (guerre, réchauffement, etc.) ? Deuxième dossier : Réchauffement climatique : + 3°C, comment s'adapter ? Et en complément, un grand entretien avec Antoine Bello, un reportage sur les mennonites au Belize, une enquête sur l'espéranto comme langue universelle, etc.
Los Angeles, 1982. Dans les theaters, les foules se pressent à la rencontre d'un gentil extra-terrestre, tandis que John Carpenter nous ouvre les portes d'un enfer glacé... The Thing, Poltergeist, Blade Runner, E.T., Star Trek 2, et Tron se disputent les billboards américains. Avec ce 35ème numéro, Rockyrama active sa machine à remonter le temps, direction 1982, date charnière qui fit définitivement basculer le cinéma américain dans les eighties. Retour sur une année fondatrice qui pava à tout jamais la route de la pop culture. Montez à bord, le passé n'attend pas.
Ce numéro estival du magazine Ubsek et Rica proposera deux dossiers thématiques extrêmement actuels !
- La grande démission et la difficulté de retourner au travail à l'ère post covid.
- Où en sommes nous sur le dossier de la procréation, tant d'un point de vu scientifique que les impactes sociaux qui en résultent.
En quelques mots.
Dossier N°1 : Grande Démission : et si c'était que le début ?
C'est décidé : dorénavant, le travail noccupera plus une place centrale dans leur existence. Ils préfèrent sépanouir autrement, quitte à revoir à la baisse leurs aspirations matérielles et à renoncer à une carrière toute tracée. Tant pis pour la sacro-sainte « ambition ». Des États-Unis à la Chine en passant par la France, le « travailler moins » prend aujourdhui différentes formes et colorations politiques chez les jeunes. Certains rêvent de renverser le système au-delà de leur propre trajectoire, dautres cherchent plus simplement à tirer leur épingle du jeu pour acheter leur liberté le plus tôt possible, tels des esclaves affranchis des temps modernes. Si la tendance reste assez minoritaire, il convient de la prendre au sérieux. La Grande Démission nest pas une simple lubie de millennials paresseux et vaguement rebelles. Au contraire, à travers ses multiples visages et canaux dexpression, elle traduit le malaise dune jeunesse à la fois épuisée, désillusionnée et pressée de reprendre en main son destin.
Dossier N°2 : « Dis, comment on fera des bébés demain ? ».
Sur tous les continents, les taux de fécondité reculent à une vitesse spectaculaire. Daprès lOnu, dici à 2100, ils devraient se stabiliser autour de deux enfants par femme à léchelle mondiale et parfois beaucoup moins selon les pays. Le recours à la procréation assistée est-il en passe de se généraliser ? Le recours à la congélation des ovocytes, qui a explosé au cours de la dernière décennie (+ 1000 % aux États-Unis) va-t-il se poursuivre dans les prochaines années ? La mise au point de lutérus artificiel va-t-elle transformer la parentalité ? Les « bébés CRISPR » génétiquement modifiés seront-ils de plus en plus nombreux ? Dans ce dossier, Usbek & Rica explore la façon toujours plus médicalisée et scientifiquement assistée dont on fera des bébés demain.
Le nouveau numéro d'Ubsek&Rica est là et toujours avec deux grands dossiers ! Dossier n°1 : L'amour, le projet politique du siècle Pitch : Du sentiment amoureux (#séduire) à l'exultation du corps (#jouir) en passant par l'engagement (#agir), la résilience (#tenir), le rapport au vivant (#s'ouvrir) et les promesses de la science (#avenir), Usbek & Rica consacre son grand dossier à une exploration politique de l'amour, ce mot magique qui nous unit, nous relie et constitue une réponse puissante aux défis de notre temps. Dossier n°2 : Pour une copropriété d'internet Pitch : Comment favoriser l'émergence de communs numériques ? La bulle des NFT va-t-elle bientôt éclater ? Le Web3 est-il la promesse d'un Internet plus égalitaire ou bien juste un terme marketing un peu fumeux ? En attendant de trancher ces questions, des nouveaux usages numériques sont déjà en train de redéfinir les contours de la propriété.
Pour cette livrée printanière, nous vous embarquons dans un voyage autour des apparences. Celles qui trompent, révèlent ou déstabilisent. Janick Entremont nous interroge sur notre rapport à la mort et notre désir d'immortalité. Paola Paredes nous raconte l'histoire de cliniques dédiées aux « thérapies de conversion » qui visent à remettre dans le « droit chemin » des personnes homosexuelles. Markel Redondo nous montre les ravages de la spéculation immobilière des promoteurs espagnols qui ont laissé des milliers de maisons en chantier. Les images-poésies de Paul Cupido composent de merveilleux haïkus visuels, auxquels font écho les flous colorés de Marc Donikian. Enfin Tobias Nicolai nous rapporte un drôle de rituel danois qui vise à recouvrir les jeunes célibataires de 25 ans de poudre de cannelle.
À la veille des dix ans de Fisheye, qui seront célébrés dans le prochain numéro, nous regardons dans le rétro. Cette décennie nous a démontré que la photographie devenait plus complexe, moins linéaire, mais aussi plus riche. C'est dans cet environnement en évolution permanente que Fisheye a tracé son chemin. D'abord éditorial, avec une indépendance et une constance à défendre les auteurs. Puis en inventant un modèle de développement qui s'appuie sur le digital, l'édition de livres, des galeries, de la production, de l'ingénierie culturelle, et un département dédié à l'art immersif. Et pour consacrer ce domaine innovant, nous lançons un nouveau média : Fisheye immersive. Il verra le jour lors de notre festival d'art immersif, le Palais Augmenté, du 23 au 25 juin au Grand Palais éphémère, à Paris. Une manière de rappeler que Fisheye reste un projet éditorial dont l'indépendance est garantie par des activités multiples et diversifiées. Nous n'avons aucune idée de ce que nous deviendrons dans dix ans, mais pour l'heure nous profitons de l'instant, et vous invitons à un été qui s'annonce pour le moins détonnant.
On ne les attendait plus. Pourtant, ils sont partout. Chamanes, sorcières, magiciennes, devins, druides, astrologues et même graines d'étoile se multiplient sur les réseaux. Et ils fascinent. Que raconte l'émergence de ces nouvelles spiritualités ? Est-ce une rupture fondamentale dans nos croyances ou l'expression d'une angoisse passagère ? Un danger sectaire ou la libération d'une spiritualité plus ouverte et plus souple ? Un grand délire foutraque ou la fin de l'ère chrétienne ? Est-ce un peu de tout cela ? Enquête.
On a beaucoup glosé sur la montée des extrêmes des religions - la remontada des extrémistes catho - les attentats perpétrés côté musulmans - Israël qui durcit le ton... Le religieux reste une guerre.
Mais - en sourdine - sur les réseaux - monte un autre phénomène. La spiritualité fait son grand retour, à la manière d'un petit bricolage qui tricote en piochant dans le grand catalogue des traditions, mais chacun créant ses petits rituels personnels. On mélange, on crée, on test, on adapte - pour entretenir une relation en ligne direct entre soi et l'univers... La nouvelle spiritualité se veut fluide, ouverte, meuble, et en dehors des dogmes et des institutions... jusqu'à friser avec le sectarisme et les croyances les plus farfelues. C'est possible. Tous chamans.
Ce numéro de printemps célèbre plusieurs anniversaires et met en avant un cahier central entièrement en noir et blanc. Si les 10 ans de Fisheye s'affichent en quatre par trois dans les couloirs du métro parisien en exposant une dizaine d'artistes publiées dans le magazine depuis le début de l'aventure, on trouvera aussi, en avant-première, un focus sur le quotidien Libération qui, lui, fête ses 50 ans avec un superbe livre et une exposition à venir. On célèbre un autre cinquantenaire avec l'édition d'un ouvrage sur Diane Arbus, disparue il y a un demi-siècle. Enfin, ce 24 février - alors que ce numéro est en impression - marque le premier anniversaire de la guerre déclenchée par la Russie en Ukraine. Michel Slomka et ses images satellites en noir et blanc nous conduisent à réexaminer les Topographies de ce pays scarifié.
Le noir et blanc s'étend à l'ensemble des portfolios de ce numéro, avec une sélection particulièrement éclectique. Outre les « paysages inversés » dudit Michel Slomka, on découvrira les Humeurs belges de Jacques Sonck qui croque depuis des années ses compatriotes dans les rues de Bruxelles, Namur et Gand avec une malice teintée de surréalisme. Sur un tout autre registre, Bastiaan Woudt compose de superbes images de mode dans lesquelles la lumière lui sert à cacher pour mieux révéler. Lucie Hodiesne Darras s'est, elle, attachée à rendre compte au plus juste de la vie quotidienne de son frère Lilou, atteint d'autisme, dont elle fait une rockstar. Un travail qui s'accompagne d'un livre aux éditions Fisheye. On trouve chez Sophie Gabrielle un univers intriguant qui explore ses peurs indicibles sur le cancer et la maladie, une manière « intime et universelle » de traduire ce qu'elle ressent. Enfin l'Histoire est de nouveau présente à travers le Palimpseste bulgare de Martin Atanasov qui n'hésite pas, à travers ses collages, à composer des télescopages critiques qui nous questionnent notamment sur le matérialisme et l'amnésie de notre époque. Sans oublier nos autres rubriques, nos coups de coeur ainsi que nos sélections de livres et d'expositions qui devraient vous aider à garder l'oeil ouvert, vif et curieux.
Le nouveau hors-série de Fisheye est consacré au travail de Susan Meiselas, la grande photographe de Magnum qui s'est illustrée par sa couverture des conflits en Amérique latine dans les années 1980, mais aussi par plusieurs séries sur la condition des femmes. Ce numéro de 100 pages propose une plongée dans l'oeuvre de cette photographe avec un entretien inédit et des textes de critiques et d'historiennes reconnues internationalement comme Marta Gili, Clara Bouveresse ou Kristen Lubben, notamment.
Un portfolio de plus de 60 pages, avec de nombreuses images inédites, permet de donner une vision panoramique de cette « pionnière engagée », qui est aussi la première lauréate du prix Women In Motion, une distinction destinée à mettre en lumière le travail des femmes photographes.
Alors que la nouvelle adaptation de Dune s'apprête à sortir sur les écrans, Rockyrama vous embarque pour un voyage vers la planète Arrakis, à la découverte d'un monument de la science-fiction. Entre les pages de ce livre singulier, véritable objet graphique, découvrez le travail d'Alex Jay Brady, dont les illustrations donnent vie à l'univers d'Herbert et replongez dans l'héritage immense de Dune. Retour sur l'oeuvre-monde de Frank Herbert avec le livre Dune, voyage galactique. Bienvenue à bord.
2023 sera une grande année pour Fisheye et ses équipes qui fêteront l'anniversaire des 10 ans du magazine. Beaucoup de surprises vous attendent, avec plusieurs temps forts que nous vous révèlerons au fil des numéros. Pour ce premier opus hivernal, placé sous le signe du Frisson (avec des portfolios à consommer glacés), nous pouvons déjà annoncer le prix Fisheye de la création visuelle. Un prix destiné à récompenser un travail photographique faisant preuve d'originalité et d'innovation, dans le fond comme dans la forme. Dans ce numéro vous trouverez aussi la nouvelle exposition de la Fisheye Gallery consacrée à des artistes ukrainiens ; le portrait de Susan Meiselas, la grande photographe de Magnum ; une plongée dans les archives photo des correspondants de l'Humanité, une virée à Bamako pour découvrir une photographe cubaine ; et un détour par l'histoire de la photo pour évoquer les travaux focalisés sur les mains. Sans oublier nos coups de coeur, notre sélection de livres et d'expositions qui devraient piquer votre curiosité et vous aider à passer l'hiver.
À travers le livre Les pieds dans la mayonnaise, les équipes de la revue Rockyrama remontent le temps et vous entraînent à la découverte d'un certain cinéma français. Avec son titre insolite et désuet, Les pieds dans la mayonnaise rend hommage « au langage d'avant » - celui d'Audiard ou de Jean Yanne - un titre empreint d'une certaine poésie, d'une savoureuse naïveté qui tente de retrouver l'inventivité lexicale des années soixante-dix. On embarque donc avec Jean Paul Belmondo et Jean Gabin dans le légendaire Un singe en hiver dans les rues de Tigreville, on retrouve le tendre Charles Denner, on va faire un tour chez de Broca avec Annie Girardot et Philippe Noiret. Et puis Romy Schneider et Patrick Dewaere viennent aussi nous faire un signe, ensemble. Sans oublier l'absurdité et l'humour de Jean Yanne et de Roland Topor. Rien de moins. Bref on va déballer les souvenirs en vrac et surtout prendre notre temps. Les pieds dans la mayonnaise se déguste bien installé, chez soi, ou au compt
Dans ce nouveau numéro de Usbek et Rica, vous trouverez deux dossiers : Et si on arrêtait d'innover ? Bienvenue dans l'âge de la maintenance. « Disruptez ! », « Brisez les codes ! », « Cassez les règles ! »... Ces dernières années, en entreprise mais pas seulement, l'innovation est devenue une injonction. Et si on arrêtait de chercher à tout réinventer ? Et si on apprenait plutôt à réhabiliter l'existant, à prendre soin de nos infrastructures et à développer une culture collective de la réparation ? Et Demain, tous paysans ? Longtemps stigmatisée, la figure du paysan semble aujourd'hui investie d'une mission sociale, à l'aune notamment des enjeux de transition écologique. Un phénomène dont témoignent la féminisation et le renouvellement générationnel du métier, ainsi que l'arrivée de « néo-convertis » soucieux d'inventer de nouveaux modèles de production.