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Richard Stark
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Parker est le prototype du dur à cuir sans états d'âmes, brutal, froid et violent, qui n'éprouve que très rarement le moindre sentiment.
Ce personnage a été créé par le « pape » du polar américain, Don Westlake, alias Richard Stark. Et c'est la superstar du comics Darwyn Cooke qui adapte les aventures du « chasseur » dans un style parfait : noir, au couteau, et sensuel.
Cette magnifique intégrale regroupe les 4 volumes traduits chacun par des stars françaises : Tonino Benacquista, Matz, Doug Headline, Nicolas Richard.
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Un homme court à travers la campagne pour échapper aux chiens qui ont flairé sa piste et à l'hélicoptère qui tourne dans le ciel. Le fuyard s'appelle Parker, il vient de braquer une banque. Au sommet d'une colline, il tombe sur un inconnu en tenue de chasseur qui le fait monter dans sa voiture et l'emmène chez lui par des chemins forestiers, échappant ainsi aux barrages de la police. Lindahl - c'est le nom du chasseur - vit dans un garage converti en habitation. L'intérieur est sommairement meublé. Sur le poste de télévision allumé en permanence, trône une grande cage abritant un perroquet. Lindhal est un homme en colère et il voit en Parker l'occasion d'assouvir une vengeance. La présence de Parker va bouleverser sa vie à un point qu'il n'imaginait pas. « Qu'est-ce qui peut expliquer que ces romans soient si plaisants à lire (ou à relire) ? Au final, c'est Parker. Même quand on sait ce qu'il va faire, c'est tout simplement fascinant de le regarder faire. » (Lawrence Block) « Les romans consacrés à Parker, le professionnel du crime, sont à mon avis des chefs-d'oeuvre qui transcendent la fiction policière pour la hisser au rang de littérature. » (John Banville)
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A 2h40 du matin, dans une petite ville du Middle West, Parker balance un cocktail Molotov dans la vitrine d'une épicerie. Pendant la diversion provoquée par l'incendie, il rejoint ses complices qui en ont profité pour dévaliser la banque locale. C'est alors que ces derniers lui apprennent que l'argent du hold-up doit en fait servir à financer un « gros coup » à Palm Beach auquel il est invité à participer. Mais Parker, qui n'aime pas se laisser dicter sa conduite, refuse la proposition. Moyennant quoi il est privé de sa part de butin.
Il aurait sans doute mieux valu le supprimer, car il va se venger. Muni de faux papiers et d'un compte en banque bien garni, il prend la direction de Palm Beach, décidé à détourner à son avantage le produit du fameux « coup ».
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Les régions oú le jeu est autorisé dans l'etat de new york étant limitées, c'est sur le fleuve qu'apparaissent les nouveaux casinos, sous forme de bateaux.
Mais parker n'aime pas les bateaux, car ils ne possèdent qu'une seule entrée et une seule sortie. " je n'aime pas les cellules ", dit-il, " et un bateau sur l'eau est une cellule, on ne peut pas se lever pour partir quand on veut. " pourtant, il va accepter de dévaliser un casino flottant, même si l'affaire lui paraît étrange à bien des points de vue, à commencer par son commanditaire, un agent de l'état qui n'a pas l'air particulièrement cupide.
Le coup semble avoir réussi, sauf qu'après un hold-up sur l'eau, il faut regagner la terre ferme et que là, dans l'ombre, des ennuis imprévus attendent parker et ses complices. le créateur de dortmunder révèle une autre facette de son talent dans ce vrai roman noir au rythme et à l'efficacité redoutables.
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Sept hommes ont organisé le braquage d'un stade un jour de championnat. Une technique parfaite et une recette appréciable (cent trente quatre mille dollars) à diviser en sept parts. Sauf qu'un inconnu s'est introduit chez Parker, a tué sa petite amie et s'est emparé de l'argent. Soupçons parmi les sept : l'un d'entre eux a-t-il voulu faire cavalier seul ? Ou l'agresseur vient-il de l'extérieur ?
Parker et ses complices décident de traquer l'assassin, en oubliant peut-être que la police, de son côté, va chercher à traquer les braqueurs du stade.
Ce livre a été publié pour la première fois dans la Série Noire en 1966 sous le titre Le septième homme.
Contrairement aux autres aventures de Parker, cette histoire n'obéit pas au scénario habituel : préparation du coup, exécution et conséquences. Ici il s'agit de voleurs poursuivant un assassin alors qu'ils sont eux-mêmes les cibles de la police. Cette trame originale donne beaucoup d'intensité dramatique au roman dont la (re)lecture est un vrai plaisir.
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Après avoir dû renoncer à un casse parce que l'un de ses comparses portait un micro, c'est un coup formidable qui se trouve compromis par la maladresse d'un des complices de Parker. Mais sa poisse ne fait que commencer : un tueur à gages, puis les flics, s'en mêlent. Parker se rend parfaitement compte que la situation est en train de lui échapper, mais ne peut rien y faire. Les choses dégénèrent et la situation devient alors incontrôlable...
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Parker est le prototype du dur à cuir sans états dâmes, brutal et violent. Ce personnage a été créé par le « pape » du polar américain, Don Westlake, alias Richard Stark. Et cest la superstar du comics Darwyn Cooke qui adapte ici le premier roman de la série dans un style parfait : noir, au couteau, et sensuel. Parker est un gangster dur, froid, brutal, qui néprouve que très rarement le moindre sentiment. On le découvre arrivant à New York, après avoir traversé lAmérique. Parker est très en colère. Parker a la colère froide. Parker a été roulé sur un coup, et presque tué par sa propre femme. Il naura de cesse de retrouver Lynn. Il naura de cesse de retrouver celui par qui tout est arrivé. Et il naura de cesse de retrouver les 40.000 dollars quon lui a carrotés. Parker se fiche de savoir combien de cadavres il devra semer sur sa route pour arriver à ces fins. Parker veut se venger et retrouver son argent, et tant pis sil doit se frotter à la mafia. Pour cela, il lui faudra, et nous avec, plonger au coeur de lAmérique de la pègre et du crime, lAmérique des personnages sans foi ni loi. (traduction : Tonino Benacquista !)
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Parker n'aurait pas dû déléguer le recrutement d'un de ses hommes. Un certain Bruhl, engagé comme manutentionnaire pour cambrioler un entrepôt de produits pharmaceutiques, désobéit aux consignes et déclenche le système d'alarme. Quelques minutes plus tard, la police est sur les lieux. Parker est arrêté et transféré à la prison de Stoneveldt, en attente de jugement. Mais il n'a pas l'intention d'y moisir. Avec le concours d'un de ses compagnons de détention et l'aide extérieure de son vieux complice Ed Mackey, il organise une évasion dans les règles de l'art.Or, cette aide a un prix. Mackey est en affaire avec des gens qui veulent monter un coup : il s'agit de faire main basse sur des joyaux chez un grossiste en pierres précieuses. Le coup est présenté comme sans risque, et pourtant Parker ne le sent pas. La suite va lui donner raison.Comeback marquait le retour fictionnel de Parker, le personnage sans prénom de Richard Stark. Breakout clôt ce cycle de cinq livres dont les titres se répondent : Comeback, Backflash, Flashfire, Firebreak et Breakout, tous parus chez Rivages et qui proposent des variations sur les scénarios classiques du roman de gangster. C'est pour Stark l'occasion de démontrer tout son savoir-faire, car s'il part d'une situation classique, il trouve bien entendu, le moyen de surprendre avec quelques cartouches de dynamite bien placées.« Westlake et Stark sont les Jekyll et Hyde du roman criminel et, même le couteau sous la gorge, je ne pourrais pas dire lequel des deux je préfère. »Ed McBain
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« Parker était entré à l hôpital avec un visage où le Syndicat de New York voulait mettre une balle, et il en sortit avec une tête qui ne dirait rien à personne. Du bon boulot. Payé à l avance, bien sûr. Le visage lui avait coûté presque dix-huit mille, ce qui lui laissait à peu près neuf mille pour tenir le temps de se remettre sur les bons rails. Il avait besoin d un boulot. Il avait écrit à Joe Sheer quelque temps plus tôt pour voir si rien n était dans l air. » Le truand Parker doit donc se remettre au travail, mais dans son boulot, il ne faut jamais baisser la garde, toujours être méfiant. Toujours.
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" je m'étais dit qu'une façon d'aborder l'émotion dans le genre policier était de la supprimer totalement.
Ce fut la première aventure de parker. " ainsi parle richard stark, alias donald westlake, de la naissance de son héros, ce gangster implacable et mythique, qui vit pour le cambriolage parfait mais refuse de mourir en l'exécutant. individu au charme trouble et fascinant, ce n'est pas un tueur, c'est un artisan. s'il doit tuer, c'est uniquement par nécessité. il n'a pas de prénom. parker fait son come-back en dérobant un demi-million de dollars à un prédicateur.
Une histoire qui commence par une réunion de fidèles en prière, mais se poursuit au royaume des ténèbres.
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Une fois n'est pas coutume... Dans Le Casse, Parker déroge à ses habitudes et accepte de travailler avec un type qui n'est pas du métier. Et pour réussir ce coup, il doit monter une équipe de douze pros... C'est beaucoup trop, mais le butin en vue est fabuleux ! Et, surtout, il y a ce coup tellement ambitieux et énorme : mettre en coupe réglée une ville entière ! En une seule nuit, tout sera réglé...
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Parer vient de tuer un homme. S'il ne l'avait pas fait, c'est cet homme qui l'aurait éliminé. Parker n'a que le temps de se débarrasser du cadavre ; son associé Frank lui donne rendez-vous dans un motel de Lake placid pour y rencontrer deux spécialistes : Ralph Wiss, un artiste des serrures, et Larry Lloyd, un as de l'informatique. Leur cible : un superbe relais de chasse du Montana, propriété d'un milliardaire de la net-économie. Ce dernier, grand amateur d'art, possède une collection de tableaux d'une nature un peu particulière, car il ne s'agit que d'oeuvres volées. Et pour voler le voleur, il va falloir faire preuve de beaucoup d'ingéniosité...
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Parker a bien des soucis. Il veut récupérer le butin d'un braquage qui a été dissimulé dans une église désaffectée. Une idée de son complice Nick Dalesia. Mais Nick s'est fait arrêter et, bien qu'il ait réussi à échapper à la police, il constitue un danger. Les relations s'annoncent également compliquées avec l'autre complice, McWhitney, qui tient un bar à Long Island. Et il faut aussi compter avec une adversaire coriace, Sandra Loscalzo, une chasseuse de primes qui a besoin d'argent. Parker va devoir conclure avec elle une alliance de circonstance.
Richard Stark renouvelle la saga de son héros singulier en faisant la part belle aux femmes, de Claire la fidèle compagne de Parker à Sandra, la chasseuse de primes capable d'en remontrer aux hommes.
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Le plan de Myers était la simplicité même : faire sauter au même moment les locaux de la police et la caserne des pompiers. De sorte que l'incendie - allumé par ses soins - ravagerait la Brasserie du Nord, les gardiens seraient trop heureux de laisser entrer une voiture de pompiers. Ils ne pourraient jamais savoir que les pompiers ne seraient pas vrais... «Je ne marche pas», fit Grofield, écoeuré. Il préférait encore la sauter quelque temps plutôt que de travailler avec un petit rigolo comme ce Myers.
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Parker le casseur, l'efficace, le précis, le froid Parker est de retour ! Cette fois, il s'agit de braquer le Casino installé sur une île par un Allemand qui travaille en solo. Du gâteau, a priori ! Oui, mais il faut compter avec les mouchards, les maladroits, le hasard. Sans oublier les flics fédéraux, qui ont la mauvaise habitude de se mêler de ce qui ne les regarde pas.
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Parker avait bien hésité à prendre un amateur dans son équipe. Mais c'était Devers qui avait apporté l'affaire : un braquage délicat mais faisable à la base aérienne. Et il semblait avoir des dispositions, l'aviateur : froid, intelligent. Marié, aussi, à une poupée qui batifolait deux fois par semaine sur le divan de son psychanalyste. Un type charmant, bourré de dettes, qui la cuisinait habilement, et commençait à entrevoir la solution de tous ses problèmes... à lui !
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Une vente de tableaux qui doit rapporter cent soixante mille dollars, ça n'est pas mal. Même s'il faut en déduire des frais professionnels relativement élevés : la réussite d'une affaire dépend du soin apporté à sa réalisation. Et Parker et ses associés sont des spécialistes... du hold-up en tous genres ; ils respectent les clauses du marché. Ce qui n'est pas le cas de leur client amateur... d'art, et quand, de surcroît, la Mafia se pointe pour tirer les marrons du feu, ça commence à barder.
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Un braquage opéré en douceur, moelleux, impeccable. Une technique parfaite. Et un butin appréciable en guise de récompense. Et il fallut qu'un loquedu démolisse la belle ouvrage. Ce loquedu que Parker ne connaissait pas tua la petite amie de Parker, et s'en fut avec le butin. Comment le retrouver, lui piquer l'argent, alors que la police locale faisait de son mieux pour alpaguer en même temps l'assassin et les voleurs ?
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