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En 1637, Corneille se lance dans un genre nouveau, encore mal défini, tragédie ou tragi-comédie... Peu importent l'étiquette et les règles, puisque Le Cid est une oeuvre sur la liberté. Rodrigue doit venger son père en tuant le père de Chimène, la femme qu'il aime... C'est l'héroïsme d'une jeunesse sacrifiée qui doit payer le prix des erreurs de ses aînés, essayer, malgré tout, de vivre, de combattre et d'aimer. La pièce souligne les défis insensés - ceux que l'on voudra toujours relever.
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Dans L'Illusion comique, en 1636, Corneille met en scène Pridamant, un père à la recherche de son fils, Clindor. Il assiste, grâce au magicien Alcandre, à la représentation des aventures mouvementées de cet enfant prodigue...À chaque acte, on change de registre. Péripéties sentimentales, rebondissements comiques, fin tragique ?Non, tout cela n'était que du théâtre !Alors, vive le jeu et que le spectacle continue...
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Rome sort à peine des guerres civiles. Pour en devenir le maître absolu, Auguste exerce la plus impitoyable cruauté et fait notamment exécuter Toranius. Pour le venger, la fille de celui-ci demande à Cinna de frapper le tyran. Cette belle histoire de sang pose la question du pardon et nous invite à une magnifique réflexion politique : comment faire reconnaître un nouveau pouvoir ?
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Un grand classique étudié au lycée vient enrichir la collection des Petits Classiques Larousse : Médée. Corneille, dans sa première tragédie, fait de Médée une sorcière colérique, une mère criminelle, mais aussi une femme courageuse qui s'élève seule contre le pouvoir des hommes.
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Qui, de Rome ou d'Albe, dominera l'autre ? Un combat singulier en décidera : trois Romains, les Horaces, combattront trois Albains, les Curiaces. Mais les liens familiaux ou amoureux entre les adversaires vont rendre la situation éminemment tragique. Et lorsque Rome triomphe grâce à son champion, c'est au prix du sacrifice et de la mort alentour. Aussi pathétique que glorieux, l'héroïque Horace fera l'expérience du renoncement et de la solitude, condamné à vivre comme on l'est à mourir.