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Inspiré de faits réels, ce récit satirique évoque l'histoire méconnue des traumatisés psychiques de la Grande Guerre.
France 1916. Dans un hôpital militaire, un médecin tyrannique soigne de mystérieux blessés. Des poilus qui ont perdu la tête au front, suspectés de jouer aux fous pour déserter le champ de bataille. « Rendre la chair aux canons », tel est l'objectif. La méthode ? Discutable... Une éléctrothérapie brutale plus proche de la torture que du traitement médical. Jusqu'a` ce qu'un patient récalcitrant refuse de s'y soumettre... -
Qui connaît Mathilde, l'épouse de Verlaine ? Elle qui a été la muse de La Bonne chanson avant d'être obligée de tenir la chandelle sous les coups de son mari ?
Du même âge que Rimbaud, elle est la source des déchirements de Verlaine, écartelé entre le ronron bourgeois de sa vie conjugale et l'appel du dérèglement de tous les sens.
De la rencontre entre le Prince des poètes et l'adolescent aux semelles de vent, jusqu'à leur séparation en 1873, Olivier Costes propose une véritable barjographie : le récit documenté de la passion de deux génies qui dérape jusqu'à la folie, avec les patins de la poésie.
À hauteur de personnage, il rend à Mathilde sa voix et sa place dans ce chaos amoureux ponctué de coups de sang et de coups de feu.
Ce regard de femme, oubliée de l'Histoire, méprisée par le milieu littéraire parisien pour avoir osé raconter ses souffrances, jette une nouvelle lumière sur cette célèbre liaison.
Un roman gouailleur, plein d'anecdotes aussi improbables qu'authentiques, qui rend hommage à l'esprit farceur de ces poètes et à leur goût pour la langue, le comique lugubre et les expressions populaires. -
Fraîchement arrivé au lycée, Adolf est un ado moustachu, envahissant et totalement ingérable, aussi cruel que raciste. Pourtant, la directrice, Madame Maréchal, octogénaire prête à tout pour défendre la devise de son établissement, Travail, Famille, Poterie, est très accommodante. Plutôt que d'affronter le tyran en herbe, elle préfère collaborer avec sa clique aussi grotesque que maléfique : Hermann, Heinrich, Martin, Klaus... et la blonde Eva...
Inspiré de faits réels et d'anecdotes méconnues, le roman fait de troublants allers-retours entre présent et passé, réalité et fiction. C'est ainsi qu'on découvre une petite histoire qui ressemble à la grande.