La toute nouvelle série de Vincent Villeminot pour les 12 ans et + !
D'abord, ce fut la nuit. La nuit complète.
Sur Zecrow, qui parle aux oiseaux, et sur moi, qui parle aux fantômes.
Et puis ensuite, tout a dérapé.
Trois frères, des pillages, deux intruses, une menace étrange...
Une série de romans d'aventure au suspense étouffant.
Igor est un petit garçon qui a toujours peur. Il n'ose pas sortir de la maison pour aller au-delà du pont, vers le Grand Là-bas. Il n'y a qu'avec son père que l'enfant cesse d'être inquiet. Mais un jour, une idée formidable entre dans leur maison : pour aider son fils, le père d'Igor ramasse tout un tas de plumes colorées qu'il coud ensuite au manteau de l'enfant pour en faire deux grandes ailes. Grâce à celles-ci, Igor n'a plus de raison d'avoir peur ! Quelles découvertes le petit garçon va-t-il faire dans le Grand Là-bas ?
Dans cette famille, il y a la mère, les trois enfants et Rosalie, la méhari vert kiwi. Une drôle de voiture, tout en plastique mais qui roule vraiment. Au volant de Rosalie, la mère emmène ses enfants à travers les chemins escarpés, à la campagne, à la mer, jusqu'au bout du monde... tout semble possible. Emmitouflés pour résister au froid de l'hiver ou serrés sur la banquette arrière pour dormir au clair de lune, ils sont ensemble, réunis pour découvrir à chaque instant, le nez au vent, ce que l'aventure de la vie leur réserve !
Qui n'a jamais espéré rencontrer l'âme soeur ?
Quin'a jamais rêvé de s'envoler ou se métamorphoser ?
Qui n'a jamais redouté de se retrouver nez à nez avec un diable rusé ?
Un jeune homme tombe amoureux d'une demoiselle qui lui vient tout droit du ciel, au moment même où, se posant sur la terre, elle quitte son manteau de plumes.
Le garçon dérobe sa parure à cette fille du Diable afin qu'elle l'emmène au royaume de son père. Mais le pari est dangereux : le diable et la diablesse accepteront-ils de laisser partir leur fille ? Rien n'est moins sûr...
La Fille du Diable est un des plus anciens contes merveilleux des traditions orales du monde. Dans aucune autre histoire, on ne trouve assemblés tant de motifs venus du fond des âges et d'une étrangeté souvent aussi délicieuse que déconcertante : filles-oiseaux, enchantements, courses poursuites, métamorphoses, objets ou animaux qui parlent...
Merveilleusement illustré par Julien Martinière, écrit dans une langue réjouissante, musicale, pleine d'humour, ce conte se dévore comme un récit de fantasy.
En se réveillant un matin, après des rêves sans doute agités, Blaise se retrouva dans son lit. Pourtant, en enfilant sa première pantoufle, il comprend qu'une chose bizarre venait de lui arriver. Malgré cette bien étrange métamorphose, dont il dissimule tant bien que mal les symptômes chaque jour plus nombreux, Blaise continue à se rendre à son bureau quotidiennement, à faire face à toutes sortes de tracas, parce qu'il le faut bien.
Le parti pris réaliste de Julien Martinière, avec ses illustrations au trait précises et fouillées, accentue parfaitement cette invasion fantastique du quotidien sans trop déranger l'ordre des choses. Farce facétieuse ou critique existentielle du monde moderne ? À chacun d'interpréter comme bon lui semble cette histoire.
Mo Abbas est un poète itinérant dans les villes où il observe et croque en détails et en jeux de mots les incongruités urbaines. Son écriture est fortement inspirée des poètes de l'Oulipo, l'Ouvroir de littérature potentielle, et l'on entend dans ses mots l'écho de Pérec ou de Calvino. Ses poèmes sur le macadam sont comme des regards d'enfants attentifs aux détails et cherchant les mots pour mieux les exprimer. Mo Abbas liste et consigne les panneaux de signalisation, les noms de rues insolites, les devantures de cafés, les cris des gabians et les cris des mamans, les bruits, les voix, les sons, les têtes, les bêtes, tout... Et tout cela ressurgit dans son écriture urbaine. À partir de ces chroniques poétiques, Julien Martinière a mis en scène un ours dans les rues de la ville, un ours avec un chapeau, des lunettes, une moto, un ours comme un homme, mais légèrement décalé... Un ours dans la ville avec la vie qui tourne autour de lui, tout cela est-il bien urbain ?
Le docteur Caboche détient la formule qui transforme la fourrure de ses loups en toison d'or... Il les élève dans un vaste hangar cerné de barbelés, dans lequel on ne vit pas vraiment : on est compté, enregistré, répertorié, tondu. On n'est qu'un numéro. C'est ici que naît 730.
Un matin, une hirondelle entre dans le bâtiment et se blesse. 730 la recueille, la soigne. Quand il lui rend sa liberté, il glisse un oeil, sur les conseils du vieux loup 173, par la fente grâce à laquelle elle s'est enfuie - et découvre les sensations du dehors. D'après 173, il existerait là des loups libres... À dater de ce jour, 730 ne rêve que d'une chose : la liberté.
Un soir comme les autres, un Yôkai à forme de renard observe une jeune fi lle à sa fenêtre.
Désireux de la séduire , il sait qu'il ne peut l'approcher sous cette forme animale, mais depuis trop longtemps à l'écart de la vie des hommes, il a oublié comment se métamorphoser en humain. Le renard va alors faire la connaissance d'un jeune garçon qui l'accompagnera le long d'une quête initiatiquepour lui fabriquer un costume d'Homme, mais également pour retrouver son identité. la fois rural et urbain, réel et rêvé, c'est un double nippon du Renard du Roman ce paysage onirique, entre Orient et Occident.
ISBN 978-2-35348-031-9 - Prix 15,00 € Format 185x225 - Relié - 40 pages Collection Petit lézard La Voie du renard Jean-baptiste boUrGoIS Julien mArTINIÈre (illustrations) pour lui fabriquer un costume d'Homme, mais également pour retrouver son identité. Le sens du détail qui guide les illustrations mêle dans un trait fi n toutes les facettes du Japon½: dans un décor à qui déambule dans
La suite des aventures de Chu', Djack et ZeCrow Après avoir échappé au pire de justesse, Léo, Nath et Camille sont de retour au Royaume. Mais l'état de Djack se dégrade à vue d'oeil, forçant Nathalie à partir avec lui dans l'espoir de trouver de l'aide à hôpital. Seuls dans le Donjon toujours privé d'électricité et de nouvelles du monde extérieur, Léo, ZeCrow et Camille ne pourront compter que sur eux-mêmes pour déjouer les dangers qui les guettent...
Un papa râleur, des enfants trop sonores, un chien, un chat, des ours, des oies... Quel joyeux bazar !Papa râle : contre Maman qui laisse entrer le chien, contre le chien qui poursuit le chat, contre le chat qui rapporte des oiseaux, des mulots... Papa râle aussi contre les enfants, qui mettent du bazar partout, qui parlent trop fort, ou trop bas. Et quand il faut se serrer pour accueillir les grands-parents, des ours, des oies et... Attendez, mais qui a laissé traîner ses noisettes ? C'est à en perdre la tête ! Une histoire théâtrale qui joue sur l'effet d'accumulation, dans laquelle toutes les familles se reconnaîtront, même les plus excentriques !
Une fillette interroge son entourage, petite soeur, grand frère, cousine, copine, parents, grands-parents, sur la finalité de la vie : à chacun de répondre selon sa personnalité, avec humour et tendresse, par une énumération à la Prévert. Un bel hymne à la vie, et une façon optimiste d'aborder une grande question existentielle !