Clémence est une petite fille de la campagne qui va à l'école en sabots et grandit entre ses deux soeurs et son petit frère. Elle fait le récit sensible et vrai de son début de vie ; de la mort de sa mère à celle de son père, ce sont dix années où nous la voyons grandir. Chaque jour apporte sa peine, sous l'autorité redoutée du père veuf : aider à la ferme, traire les vaches, livrer le lait. Mais il y a les livres, qu'elle découvre grâce à son institutrice, l'amour des siens, et la vie qui continue : sa soeur aînée se marie, l'autre découvre son don de guérisseuse. Clémence aime les livres, elle est douée et veut apprendre : le père accepte de l'envoyer à la grande école. Avec sa famille, elle fait face au choc de l'histoire : la Seconde Guerre mondiale, la défaite, l'inquiétude et l'espoir, l'invasion. Les hommes résistent, rejoignent le maquis.
Certains vont mourir. Nous sommes en Corse, et Clémence deviendra institutrice.
Théo était un doux rêveur et on disait de lui qu'il avait la tête ailleurs. Quand sa mère lui demandait : « Théo, t'es où ? », pouvait-il lui dire qu'il pensait seulement à des mots qu'il trouvait beaux ? Pourtant, il se contentait de répondre : « Je suis là ! ». Le jour où ses parents furent obligés de le laisser quelque temps chez son grand-père, Théo fut fou de joie car, comme lui, son grand-père était un doux rêveur. Il commençait toujours ses phrases par ces mots : « Par les temps qui courent » et aussitôt Théo imaginait toutes sortes de personnages. C'est ainsi que lorsqu'il s'installa chez lui, ils décidèrent d'écrire une histoire ensemble. À partir du moment où celle-ci naquit, d'autres histoires surgirent. Elles ne cessaient de bouger dans la tête de Théo si bien qu'il ne vit pas le temps passer. Le jour où il apprit que ses parents étaient sur le point d'arriver, il fut fort étonné. Le plus extraordinaire c'est qu'ils débarquèrent un matin de bonne heure alors que Théo était encore endormi. Et savez-vous par qui il fut réveillé ? Bien sûr, par la voix de sa mère qui disait : « Théo, t'es où ? »
« La nouvelle éclata un dimanche. Aux quatre coins du duché, des gardes champêtres furent envoyés. Ils crièrent haut et fort que, désormais, rire était interdit. » Et si un jour, un roi décrétait une loi absurde .. Serait-il vraiment possible d'interdire le rire ?
Alors qu'elle déjeune avec une amie dans une brasserie, Caroline aperçoit, accroché au mur, le portrait en noir et blanc d'une fillette lui ressemblant étrangement. Enfant adoptée, la jeune fille ignore tout de ses origines. Quels secrets entourent sa naissance ? D'où vient cette photo ? Fascinée par cette découverte, elle se lance dans des recherches qui vont bouleverser sa vie...
Le jour où le grand-père de Lisa l'autorise à monter toute seule au grenier à la recherche d'un vieux panier en osier, elle aperçoit un trou dans le plancher. Pas un instant lorsque la fillette se décide à y glisser les doigts, elle n'imagine que sa découverte va la propulser, ainsi que son cousin Léo, au coeur d'une véritable énigme. Patiemment, nos jeunes enquêteurs vont démêler l'écheveau d'indices, assembler les fragments du puzzle. Mais arriveront-ils à faire toute la lumière sur les secrets du grenier ?
Dans le vieux quartier se trouve une maison abandonnée d'où proviennent des murmures. Ses anciens occupants ont disparu. Seuls les chauves-souris, les chats noirs et une mystérieuse dame en noir osent s'en approcher. Soleilla et son amie Léonie vont tenter de percer le mystère ...
Deux amies enquêtent découvrent des passages secrets, rencontrent des adultes au comportement étrange, croisent une revenante, ...
Une fois de plus, maman demande à Camille de mettre un peu d'ordre dans son bazar. Camille adore lire, mais elle n'aime pas ranger ses affaires. Fort heureusement, Nina a trouvé un lapin ...
Une fois de plus, Camille n'échappera pas à l'obligation de mettre peu d'ordre dans le bazar de sa chambre. Pourtant, cette fois, la perspective d'accueillir bientôt un lapin rendra la corvée plus facile.
Rosine connaît sa poésie par coeur mais dès qu'elle la récite devant toute la classe, elle rougit terriblement et ses jambes flageolent. Pourtant, un jour, grâce à Liline sa nouvelle copine, tout va changer...
Est-ce parce que toutes les deux ont « un soleil sur la tête » ?
Rosina sap sa poësia de per còr mas tre que la ditz davant tota la classa, ven tarriblament roja e las cambas li flaquejan. çaquelà, un jorn, gràcia a Lilina, sa novèla copina, tot va cambiar...
Serà per que totas doas an « un solelh sul cap » ?
Monsieur Pervenche déteste les dimanches. Les rues de son village sont vides, personne ne sort de chez soi.
Au cours d'une de ses nuits d'insomnie, Monsieur Pervenche écrit de la poésie.
Ces mots vont changer ses dimanches.
Léni arrive très souvent en retard à l'école car, tous les matins, il doit effectuer mille et une corvées. Son père « le papa frappeur », lui interdit de pleurer et encore moins de se plaindre. En plus celle qu'il appelle « sa fausse petite maman » est digne de la marâtre de Cendrillon.
Heureusement, il rêve et son rêve le plus cher c'est de retrouver sa vraie maman.
Heureusement, il y a l'école, là-bas auprès de son institutrice il peut être lui-même. Elle l'écoute, elle le comprend et elle fait de son mieux pour le protéger.
Léni à coeur perdu est une histoire vraie, une histoire prenante qui aurait pu finir tout autrement.
Entre rêve et réalité, ce roman nous fait partir à la rencontre de tous les enfants maltraités et nous incite à prendre conscience de leur souffrance, à réagir et à signaler.
Cédric a déménagé. Il a changé de ville, changé de maison, changé d'école. Dans sa classe, Cédric est le nouveau et ce n'est pas facile ! Il ne connait personne et sa nouvelle maîtresse n'est pas très gentille. En plus il a un secret. Un secret qu'il garde jalousement depuis la grande section ! Quand sa nouvelle maîtresse le découvrira ? . Ouh là là ! Tous aux abris !
La nouvelle école de Cédric, un roman captivant, à partir de 8 ans.
Lors d'une sortie scolaire consacrée au souvenir de la première Guerre mondiale, un enfant a la surprise de voir son nom sur la liste des décédés du monument aux morts du village... Il décide d'en savoir plus
Camille aime bien prendre son temps. Elle déteste quand, tous les dimanches soir, sa maman lui dit : « Demain c'est lundi ! ».
Elle prépare toujours ses affaires à la dernière minute et ne se couche pas tôt, mais elle n'est pas souvent en retard.
Peur du noir, peur des monstres, peur de la visite médicale, peur de se retrouver tout seul dans une maison vide, peur d'un nouveau prof, six histoires de peurs qui, une fois surmontées, nous ont permis de grandir sont évoquées dans ces petites histoires toute pleines de notre enfance. Une histoire de la série "Plus de peur que de mal !". Tranche d'âge : 6-12 ans.
Dans la voiture de sa Nanie, Petit Louis est très heureux de constater que la lune ait l'air de les suivre. Sous la présence bienveillante de celle ci, il s'endort bien vite. Quand il ouvre ses yeux, au moment où Nanie arrive près de la maison, la lune est toujours là !! C'est alors que dans sa chambre, une belle surprise l'attend !
Dans les pas de Jean de La Fontaine, Un corbeau très haut placé met en scène les personnages principaux de la célèbre fable "Le corbeau et le renard" tout en les mettant dans une situation différente mais pas si éloignée.
Ici, nous nous posons la question du pouvoir et du bonheur qu'il procure... ou pas.
190 histoires courtes remplies de tendresse pour émerveiller les enfants à l'heure du coucher ...
Ce joli recueil matelassé contient 190 d'histoires courtes et variées pour les tout-petits.
Un format adapté à la lecture du soir, avec des histoires drôles et attachantes, et de magnifiques illustrations pour le plus grand plaisir des enfants. Un tendre moment de complicité et de partage avant de s'endormir.
Luc est très content. Sa maman lui a acheté le beau cartable rose qui lui plaisait tant. Fièrement, il entre dans la cour de la grande école mais, à sa grande surprise, tous les enfants se moquent de lui.
Quand le docteur Josée Josi m'a annoncé que j'avais l'appendicite et qu'il fallait m'opérer, je n'ai pas très bien compris. J'ai un peu confondu opérer et opéra. Heureusement, je suis parti à l'hôpital avec ma maman, mon papa ... et doudou Murphy !
En ce premier jour des vacances, Ombeline a complètement oublié qu'elle va à Paris avec sa mère. Elle ne sait même plus qu'elle est le motif de cette sortie. Elle se souvient seulement qu'il s'agit d'une expo.
C'est ainsi qu'après avoir pris le train et le métro elles arrivent sur les lieux de l'expo dans une salle située au sous-sol du square de la Roquette. Tout de suite, le nom de la salle intrigue Ombeline : «â€‰salle Olympe de Gouges ». Qui est cette personne ? Après avoir franchi les quelques marches qui descendent vers la salle, Ombeline lit, sur le mur en face d'elle, la citation suivante : «â€‰La femme a le droit de monter à l'échafaud : elle doit avoir également celui de monter à la tribune, pourvu que ses manifestations ne troublent pas l'ordre public établi par la loi. » Il s'agit d'une citation d'Olympe de Gouges.
A partir de cette découverte, Ombeline va remonter le temps à la rencontre d'Olympe de Gouges.
Depuis toujours Nino, un garçon de dix ans, parle avec Nina qui est dans sa tête. Une nuit, il hurle son nom en plein cauchemar. À partir de ce moment, ses parents vont avoir un comportement étrange. Nino sait qu'il plane un mystère sur sa vie. Une histoire à propos de l'adoption et des liens mystérieux qui unissent les jumeaux.
Monsieur Pervenche déteste les dimanches. Les rues de son village sont vides, personne ne sort de chez soi.
Au cours d'une de ses nuits d'insomnie, Monsieur Pervenche écrit de la poésie.
Ces mots vont changer ses dimanches.
Cette année, pendant les grandes vacances sur l'île natale de mon arrière-grand-père Missia, j'ai fait la connaissance deFélicie. La première fois que je l'ai rencontrée, elle m'a fait un compliment. J'ai été très surpris de constater, qu'à ce moment là, Missia a fait un drôle de geste dans son dos. C'est ainsi que pour la première fois de ma vie, j'ai entendu parler du mauvais oil. Félicie était-elle une sorcière ou s'agissait-il, tout simplement, d'un malentendu?