Que renferme ce funeste destin déjà tant dépeint par nombres de biographes. Marie Stuart fut simultanément reine de France, d'Écosse et surtout prétendante à un troisième trône, celui d'Angleterre. Élevée à la cour de Catherine de Médicis, Marie reçoit une éducation remarquable et apprend très vite les rouages de la politique dans la proximité des Valois. Nous pouvons nous interroger de ce fait sur les positions et alliances qu'elle a entretenu tout au long de sa vie et qui l'ont probablement desservie.
Reine catholique, c'est dans une période de complots, de troubles religieux majeurs et dans une Écosse devenue largement protestante que Marie Stuart gouverne et se bat pour préserver son pouvoir. Femme touchante et bouleversante à la beauté envoûtante, son aveuglement amoureux a-t-il été compatible avec son statut et ses devoirs ? Marie Stuart a-t-elle été trop femme pour régner ?
Nous sommes le 21 mars 1804, au château de Vincennes, entre minuit et trois heures du matin, Louis Antoine Henri de Bourbon Condé duc d'Enghien va être jugé puis exécuté. Pour quels crimes?? Qui a ordonné son enlèvement puis sa mort?? Complot ou erreur politique de Napoléon Bonaparte?? Le duc d'Enghien est potentiellement le dernier descendant désigné au trône, il est jeune, beau et amoureux de Charlotte de Rohan Rochefort. Dans ce texte court et documenté, l'auteur évoque les principaux protagonistes de cette affaire passionnante et met en lumière ses tenants et aboutissants.
Louis XIV fait de Molière, qui a découvert une forme nouvelle de rire, un de ses protégés. Il rit aux spectacles de ses pièces à la Cour, ce qui leur garantit un succès immédiat. Cette confiance et le caractère subversif de ses dialogues valent à l'auteur une cabale rocambolesque dont il se tire de justesse.
Les deux grands personnages deviennent intimes et lors d'entrevues secrètes, le Roi suggère au dramaturge son Tartuffe qu'il interdira pourtant après une unique représentation. Ce n'est que cinq ans plus tard qu'il sera joué à nouveau alors que Molière est déjà malade, perd ses proches et sent l'ombre de la mort le recouvrir peu à peu.
Le roi a ri se concentre sur l'histoire privée de deux grandes figures, Molière et Louis XIV, de leurs entretiens secrets avérés, et de leurs influences mutuelles sur fond de lutte politique contre le jansénisme, pour construire un récit primesautier de la France du Grand Siècle, absent des manuels d'histoire et de français.
Chemin faisant, ce roman met en scène d'attachants personnages, comme cet espion du roi aveugle et obèse qui perce les secrets des âmes à l'ouïe. Ils permettent de savamment tisser la toile de l'intrigue et de faire jouer dans le récit les mythes et mystères de la vie de Molière - soupçons de mariage incestueux, réutilisation de la plume de Corneille, etc.
Sans jamais donner à son érudition la moindre lourdeur, Dominique Labarrière fait défiler avec son style à la fois enlevé et charmant, une galerie mythique de grands personnages historiques, tout en ponctuant l'intrigue de savoureuses anecdotes et des petits secrets de la grande histoire. Éclairant plus que jamais les travers de notre époque, le roman met en exergue la puissance du rire comme arme politique. Plus encore, il en magnifie la force libératrice, au-delà des circonstances de l'époque. Ce rire de Molière, tolérant et moderne, éclaire en creux les travers de notre époque parfois engoncée dans un ordre moral plus pernicieux encore qu'au Grand Siècle.
Quand les femmes prennent le pouvoir sur leur vie !
Voyage historique et militant.
Ces femmes, qui ont vécu à des époques et dans des milieux fort différents, ont toutes une chose en commun, une seule, peut-être bien : elles ont pris le pouvoir sur leur vie.
En se démarquant des usages, des codes préétablis, en se libérant du carcan mental et comportemental dans lequel le système et de prétendues "traditions immuables" les enfermaient, elles ont, certes marqué leur temps, mais elles ont surtout contribué, chacune à sa place, chacune dans son registre, à inscrire dans les faits le droit pour la femme d'inventer sa propre manière d'être au monde.
Sans avoir jamais prétendu donner de leçons à quiconque, elles ont, par l'exemple, par les actes, par les idées, montré à la terre entière que, pour les femmes aussi, l'art de vivre doit être un art de la liberté.
Évoquer ce qu'elles ont été, ce qu'elles ont fait, créé, inventé, conquis ; exposer les ruptures, les audaces, les épreuves, qu'elles ont assumées, c'est juste montrer à quel point la ségrégation sexiste relève non seulement d'une inexpiable injustice, mais aussi - et surtout - d'une abyssale sottise.
Femmes évoquées : Hypatie - Trotula de Salerne - Pétronille de Chemillé - Jacoba de Almania - Madeleine Brès - Rosalind Franklin - Sophie Germain - Hildegarde de Bingen - Christine de Pisan - Aliénor d'Aquitaine - Mary Wollstonecraft - Mary Shelley - Billie Holiday - Joséphine Baker - Marquise de Sévigné - Germaine de Stael - Juliette Récamier - George Sand - Colette - Agatha Christie - Jeanne d'Arc - Olympe de Gouges - Rosa Luxemburg - Hannah Arendt - Simone Weil - Simone de Beauvoir - Louise Weiss - Elisabeth Tudor - Éléonore Roosevelt - Jeanne Barret - Alexandra David-Néel - Héléna Blavaski - Isabelle Eberhardt - Hélène Boucher - Claude Cogan - Florence Arthaud, et quelques autres...
Qui n'a jamais entendu parler des Templiers, cet ordre militaire et religieux, tellement novateur dans la société médiévale ? Nous pourrions considérer que tout a déjà été dit, et pourtant... Malgré la qualité des recherches effectuées par les historiens, beaucoup de zones d'ombre demeurent autour de sa création et de son histoire.Une chose est certaine, la dimension politique est bel et bien présente d'emblée, facilitant grandement la reconnaissance officielle de l'ordre. Officialisation assortie de privilèges considérables qui devaient rapidement provoquer les plus vives jalousies et les plus violentes critiques. En peu de temps, l'ordre est devenu puissant. Très puissant. Riche. Très riche.Mais tant de puissance et de richesses devaient à terme se retourner contre l'ordre même.Au terme d'une procédure de plusieurs années, chef-d'oeuvre de rouerie et de cynisme, en 1312, lors du concile de Vienne, le pape décrète la suppression de l'ordre. Deux années plus tard, en 1314, son dernier grand maître, Jacques de Molay, périt sur le bûcher à Paris sur ordre du roi de France.De cela, Maurice Druon a tiré une fresque passionnante, incroyablement romanesque, une fiction pleine d'invention.Mais qu'en est-il de la réalité ?
2019 : « l'année Vinci » et « l'année Chambord » Les cinq cents ans de la mort de Vinci et de la construction du château de Chambord sont conjointement commémorés tout au long de cette année.
Le livre retrace les moments forts du parcours de Léonard de Vinci venu passer les trois dernières années de son existence en France, à Amboise, près de son protecteur le jeune roi François 1er, alors au sommet de sa gloire.
Ce livre, qui se lit comme un roman, explore ce qu'on peut appeler « le mystère Chambord », jamais élucidé jusqu'alors. Le château, mondialement connu, est construit d'après des croquis laissés par Vinci, notamment le très célèbre escalier monumental à double révolution qui en est la pièce maîtresse.
Pourquoi Léonard a-t-il conçu un tel plan si différent de ceux des autres châteaux de la Renaissance ? Quel message, quel testament intellectuel, spirituel, symbolique, ésotérique a-t-il voulu nous laisser en plaçant au coeur de cet édifice cet escalier extraordinaire qui, en fait, ne mène nulle part ?
Qu'on ne s'y trompe pas : la sorcière n'est pas le sorcier au féminin. Elle est d'une autre nature. Quand bien même parviendrait-on à faire l'inventaire exhaustif des actes, des prodiges, des maléfices, des mirages relevant de la sorcellerie, on n'aurait pas encore mis à nu le mystère de la sorcière. Dans nos contrées d'Europe, trois ou quatre siècles durant, leur rendant l'hommage flamboyant et purificateur du bûcher, on a consumé des sorcières par dizaines de milliers.
Mais, ce faisant, a-t-on réduit en cendres "la" sorcière, l'amante des songes obsessionnels de clercs et de juges qui en perdaient la raison ?
Tout le pays est en effervescence. Le roi, le grand Louis XIV, vient à Chambord goûter le divertissement de la chasse. La cour et l'arrière-cour se pressent. Grands seigneurs, belles dames, gentilshommes de moindre relief sont là. Colbert, l'omnipotent ministre du roi, celui qui fait tant d'ombre autour de lui et suscite tant de haines, y est lui-même attendu. Molière aussi est du voyage. Avec sa troupe, il doit créer sa nouvelle pièce, Le Bourgeois gentilhomme.
Le roi aime Molière, qui sait si bien le faire rire et dire les choses qu'un roi ne saurait dire. Mais si Colbert a ses ennemis, Molière a les siens, non moins acharnés. Ceux-là voient dans ses pièces d'intolérables attaques contre les bonnes moeurs, la religion, les privilèges de toutes sortes. Mettre à profit le séjour à Chambord pour abattre l'un et l'autre, le ministre trop puissant, l'auteur tellement impertinent, voilà le dessein machiavélique qui se trame dans l'ombre.
Pour le mener à bien, les conjurés ne reculent devant rien. Leur chemin est semé de meurtres et de terrifiantes manipulations. Ils sont infiltrés jusqu'au coeur du pouvoir royal, jusque dans l'intimité du monarque. Leur plan est d'une habileté et d'une efficacité redoutables. Ils ont pensé à tout, tout calculé. En effet, il semble bien qu'ils aient tout prévu... sauf le minuscule grain de sable qui vient si souvent enrayer les machinations les plus hardies, les plus diaboliques : l' amour.
Redécouvrez Gaïa, Héra, Athéna, Hélène, Pénélope, Médée, Pandore, Aphrodite, Circé, Jocaste et tant d'autres ...
À travers cette relecture passionnante et documentée des légendes mythologiques, remontez aux origines des préjugés sexistes qui ne cessent de nourrir notre imaginaire et nos références culturelles depuis plus de vingt siècles.
Les figures féminines de la mythologie représentent en effet un échantillon complet des griefs faits à la gent féminine tout au long de notre histoire. En mettant en exergue le foisonnement de ces préjugés immémoriaux, l'auteur entend rendre aux femmes la justice qui leur est due. Quiconque se souciant de la cause des femmes sera curieux de remonter ainsi à l'origine du mal.
Une relecture fascinante qui explore la véritable place faite aux femmes dans nos sociétés.
Si Friedrich Nietzsche a pu, en son temps, déclarer " Dieu est mort ", personne, à ce jour, à notre connaissance, ne s'est aventuré à proclamer la mort de Satan. Nous ne nous y risquerons pas. Nous nous contenterons d'évoquer sa haute figure dans ses métamorphoses, ses pompes et ses oeuvres. Et, en un prolongement dramatiquement logique, le bouc émissaire tout trouvé qu'est la femme. A l'heure où le féminisme prend un nouveau visage et s'incarne dans la figure mythique de la sorcière, il est essentiel de revenir sur le processus qui a conduit à cet état de fait : le Diable.
Du Moyen Age à nos jours, Dominique Labarrière dresse les multiples visages de l'incarnation du Mal, mettant en exergue l'utilisation qui en a été faite afin de modifier le statut des femmes : découvrez quelle est cette conception de la femme que les puissances religieuses et laïques vont s'employer à promouvoir à partir des dernières décennies du XVe siècle.
Laissez-nous vous conter les sociétés secrètes, leur histoire, leur organisation, leurs rituels, leurs relations au savoir et au pouvoir, etc., mais aussi les personnages fondateurs ou emblématiques, les anecdotes, les faits marquants. Dans le même temps, il convient de mettre cela en perspective avec le contexte historique dans lequel ces sociétés, ces ordres sont apparus, et expliquer leur évolution éventuelle, leur adaptation aux fluctuations de l'histoire. En fait, ces sociétés de l'ombre sont très éclairantes.
Elles en disent long sur l'état - momentané ou pérenne - des sociétés dont elles se veulent la face cachée.
Leur étude offre donc une sorte de miroir du monde.
Au fil du récit, le lecteur est amené à saisir la distinction qu'il y a entre secret et clandestinité, entre initiation et endoctrinement, entre société secrète proprement dite et secte, entre filiation spirituelle, intellectuelle et récupération dogmatique, entre spiritualité et ésotérisme marchand.
De l'Antiquité à nos jours, l'histoire de ces sociétés emblématiques sont autant d'aventures humaines.
Sublime pour les uns, scandaleuse pour les autres, martyre de sa foi ou comploteuse frénétique, complice de l'assassinat du roi son époux ou victime d'abominables machinations, créature aveuglée par la passion ou femme assumant sa liberté, Mary Stuart ne saurait laisser indifférent.
Sa fin tragique, qu'elle a su affronter avec dignité et panache, pare sa mémoire d'une aura romantique qui a sans doute fortement contribué à masquer les ombres d'un parcours erratique et d'une personnalité aussi complexe que déroutante. Son destin est indissociable de celui d'une autre icône du XVIe siècle, Elisabeth lre d'Angleterre. Entre Marie, plus femme que reine, et Elisabeth, plus reine que femme, s'établit une étrange relation sur fond de fascination/répulsion, de conflit d'ambition, d'oppositions confessionnelles qui, dans le droit fil de la tragédie grecque, ne peut se clore que par l'élimination de l'une d'elles.
Ce sera Marie... parce qu'elle est la plus faible? Ou la plus fautive ? Après sa très remarquée contre- enquête sur le procès des Templiers, l'auteur livre ici un travail rigoureux d'investigation et d'analyse uniquement basé sur les faits avérés, les actes authentifiés des protagonistes et les seuls documents validés par les meilleurs historiens. Cet essai, qui se lit comme un roman, apporte des réponses objectives et argumentées aux questions que la destinée de Marie Stuart ne cesse de susciter depuis cinq siècles.
La face cachée de la guerre (machination, corruptions et profiteurs).
Les femmes au lendemain du conflit.
Une écriture est à la fois précieuse et af- franchie qui amuse et terrifie.
Des personnages extrêmes et saisissants.
11 novembre 1918 - La Victoire. Partout les carillons de joie, les flonflons de la délivrance. La fin d'un cauchemar de quatre épouvantables années.
Mais est-ce bien la fin du cauchemar pour ces grands blessés qu'Héloïse Davray tentait tant bien que mal d'accompagner dans cet hôpital de campagne du côté de la somme ?
Est-ce bien la fin du cauchemar pour ces femmes - veuves, mères, soeurs, fiancées de gars tués au front ou revenus mutilés - qui se rassemblent chaque jour presque en cachette dans la sacristie de l'église de Saint-Augustin pour partager leur tristesse, leur désarroi, leur épuisement et leur détestation de la guerre ?
La parole qu'elles libèrent alors, si peu en harmonie avec la liesse de commande du moment, n'a pas droit de cité. On leur impose silence. Comme on impose silence à Françoise Dupuy, cette jeune avocate devenue journaliste pour enquêter sur les troublantes zones d'ombre autour de l'assassinat du leader socialiste et pacifiste Jean Jaurès, en 1914, quatre jours avant l'entrée en guerre de la France.
Les chemins de Françoise et d'Héloïse vont se croiser. Pour cette dernière, ce sera la révélation des sombres machinations, des épouvantables compromissions et de l'océan de corruption qui ont prospéré en marge du conflit et grâce à lui.
Les coupables, les corrompus, les affairistes, les politicards qui, pour de sordides raisons d'intérêt et de pouvoir, ont tout fait en sous-main pour que cette guerre éclate, elle ne les connaît que trop bien. Elle était des leurs avant-guerre. Elle partageait leur existence de luxe, de futilité, de volupté.
Elle était même tombée follement amoureuse de l'un d'eux, peut-être bien le plus compromis.
Aussi, lorsque les carillons joyeux cessent de sonner, se persuade-t-elle sans peine que l'heure est venue pour ceux-là de payer.
Il suffit de prononcer le mot « femme » pour que, instantanément, un certain nombre de notions et desymboles s'imposent à l'esprit. Ils sont ce qui la représente, ce qui la caractérise dans la pensée commune tellequ'elle s'est construite au fil de l'histoire humaine. Ils ont émergé et prospéré à partir de sources mythiques ethistoriques convergentes bien que diverses.
Il nous a semblé que des personnages, eux aussi mythiques ou historiques, incarnaient plus et mieux qued'autres ces symboles féminins. C'est donc par l'évocation de certains que nous mènerons notre investigation,que nous tenterons l'exploration de ces schèmes archaïques dont nos mentalités sont façonnées encoreaujourd'hui et qui régissent bon nombre de nos perceptions, de nos comportements, de nos rites, de noscodes, de nos lois. Bon nombre aussi de préventions, de préjugés et d'interprétations négatives qui procèdenten fait, la plupart du temps, d'une lecture intentionnellement altérée ou dévoyée du symbole en fonction despoints de vue, des intérêts, des dogmes et des idéologies sous le prisme desquels il aura été appréhendé.
Notre monde moderne, contrairement à ce qu'il serait enclin à croire, n'a en aucune façon dépassé ou liquidéces symboles féminins et leur charge mentale. C'est toujours, plus ou moins obscurément, autour d'eux, mêmetrès affadis, que, dans une très large mesure, s'articule la vie de nos sociétés, quand bien même prétendrait-onla réinventer.
L'auteur met tout son art dans cette enquête haletante, rassemblant et mettant à jour tous les ténébreux méandres de cette affaire qui hante encore les mémoires et qui est l'un des plus grands procès politique de l'histoire.
Qui étaient donc réellement ces Templiers accusés de tous les maux? Quel rôle a joué la torture dans leurs aveux ? Quels enjeux politiques et religieux ont motivé la destruction de l'Ordre ?
27 février 2000.
Suzanne Viguier, mère de 3 enfants, épouse de Jacques Viguier, professeur de droit public à la faculté de Toulouse, disparaît. La piste du mari meurtrier est la seule suivie bien qu'elle ne repose sur aucune preuve, aucun indice matériel probant. Après neuf années d'un hallucinant feuilleton judiciaire et médiatique, Jacques Viguier est acquitté. Contre toute attente, le parquet annonce alors qu'il fait appel.
Décision surprenante, compte tenu du principe de droit pénal qui induit que l'acquittement doit profiter à l'accusé... Sous une plume claire et précise apparaissent les moments forts de l'enquête, de l'accusation, du procès et du traitement médiatique de cette affaire. L'auteur décrit, dans un récit vivant et rigoureusement authentique, un drame humain, un engrenage judiciaire implacable. Un document complet et édifiant qui permet de comprendre dans quelle tourmente tout citoyen peut être pris.
Recueil de plus de 200 cartes postales anciennes présentant La Baule au début du XXe siècle.
Le 1?? mai 1993, le corps sans vie de Pierre Bérégovoy est retrouvé au bord du canal de Nevers. Non seulement l'émotion suscitée par cette fin brutale demeure intacte vingt ans après, mais les mystères qui l'entourent ne se sont pas dissipés. Au contraire. L'existence de deux lettres du disparu a été révélée; son fameux carnet noir a fait une surprenante réapparition; des précisions ont été apportées sur la nature des blessures et la prise en charge du corps. Surtout, la question cruciale de l'arme qui a causé la mort de l'ancien Premier ministre de François Mitterrand peut désormais être abordée sous un angle neuf. Ce livre fait le point sur l'affaire et recense ses trop nombreuses zones d'ombre dans le but de contribuer à la manifestation de la vérité.