Pour découvrir l'île de Pâques, ses légendes, le quotidien de ses habitants, les fameux moais, à travers plus de 100 gouaches de l'artiste dont le style s'inspire des dessins d'architectes.
Les chefs-d'oeuvre de l'Antiquité classique revisités par Daniel Arsham : poursuivant sa démarche d'archéologique fictive, l'artiste américain offre à travers sa réappropriation de la Vénus de Milo, de l'Athéna Casquée ou du Moïse assis de Michel-Ange une réflexion sur notre rapport au temps.
Accompagné par les équipes du Louvre, Daniel Arsham a visité les collections du musée pour étudier les statues grecques et romaines qui ont inspiré les oeuvres de sa nouvelle série. Pour créer ce nouvel ensemble de sculptures, l'artiste Daniel Arsham a puisé dans la vaste collection de moules réalisée par les Ateliers d'Art du RMN - Grand Palais. Utilisant des moules de sculptures dans les collections du Louvre et d'autres institutions à travers la France, l'équipe de l'atelier de l'artiste a collaboré avec celle des sculpteurs statuaires de RMN dans l'exécution des oeuvres. Ce livre présente un nouvel ensemble de sculptures de l'artiste, et les différentes étapes de leur fabrication. Il est accompagné d'un texte de Ludovic Laugier ansi qu'un entretien avec l'artiste par Ludovic Laugier.
Publié suite à l'exposition éponyme à la galerie Perrotin, Paris, du 11 janvier au 13 mars 2020.
Un nouvel ensemble de sculptures créé par Daniel Arsham à partir de la vaste collection de moules réalisée par les Ateliers d'Art du RMN - Grand Palais.
Ce livre présente au travers de deux expositions, l'une au musée Guimet à Paris et l'autre à New York, un nouvel ensemble de sculptures et des nouvelles peintures de l'artiste. Il est accompagné d'un texte de Sophie Makariou, présidente du Musée National des Arts Asiatiques - Guimet, Paris, et d'un autre texte de Glenn Adamson, commissaire indépendant et auteur. Pour créer ce nouvel ensemble de sculptures, l'artiste Daniel Arsham a puisé dans la vaste collection de moules réalisée par les Ateliers d'Art du RMN - Grand Palais. Utilisant des moules de sculptures, l'équipe de l'atelier de l'artiste a collaboré avec celle des sculpteurs statuaires de RMN dans l'exécution des oeuvres.
Né aux États-Unis en 1980, Daniel Arsham vit et travaille entre New York et Miami. Influencé par la pop culture, il mêle dans ses travaux différents médias, comme la sculpture, la performance ou la vidéo. Dans ses réflexions et ses travaux, l'architecture joue un rôle majeur. Murs en ruines, escaliers ne menant nulle part, paysages dans lesquels la nature reprend enfin son droit : Arsham contraint l'architecture à faire ce qu'elle ne devrait pas, à faire se confondre forme et espace, à travers un geste simple mais néanmoins paradoxal.
Dans son projet Future Relic, constitué à la fois de sculptures (notamment en pierre volcanique ou en calcaire) et de 2 films dans lesquels il met en scène ses sculptures (un troisième est actuellement en production, avec l'acteur James Franco), Daniel Arsham créé des fictions autour d'objets de notre quotidien devenus fossiles, retrouvés après un cataclysme sur une Terre devenu inhospitalière et aride. Pour la première fois, dans Ficitonal Archeology, Daniel Arsham revient, dans un texte qu'il signe, sur ces reliques du futur, sur son imaginaire entre science-fiction et dystopie, sur lesquels il n'a pour l'instant fait aucun commentaire. Instruments de musique, appareils photos, caméras et pellicules, téléphones, pneus, casques, télévisions, consoles, jouets, outils, objets de sport. l'artiste expérimente sur des objets venant de tous les pans de notre quotidien, leur donnant un aspect brillant mais désintégré grâce aux matériaux qu'il utilise. Résultat : ces futurs objets du passé qui se désintègre dans le présent.