Marilyn ! Son visage rayonnant habille les tee-shirts de milliers de jeunes et son poster orne les murs de leur chambre.
Mais que savent-ils de cette étoile sur papier glacé ? Ce livre révèle, bien loin de l'image formatée d'une star, les multiples facettes de cette personnalité troublante, de cette femme libre, en but à la misogynie du système hollywoodien.
Mais que se cache-t-il derrière cette silhouette, cette voix envoûtante et ce regard impénétrable ? Avant d'être une actrice lumineuse à la recherche de la perfection, elle fut aussi une enfant perdue dans un monde sordide, puis une adolescente rebelle. Sa vie se terminera enfin de manière dramatique.
Le collège Gérard de Nerval est en émoi.
Madame Gina, la gentille dame de la cantine, est morte assassinée dans les cuisines, un couteau dans le ventre.
Pas d'effraction, pas de casse, pas d'indices :
Le crime parfait !
Mais que s'est--il passé ?
Avant de s'éteindre, elle a prononcé quelques mots « On m'a volé mon trésor ».
Mais qu'est-- ce que ce message signifie réellement ?
Justine et Hector, deux jeunes collégiens, décident de mener l'enquête.
Sauront--ils découvrir l'assassin ?
Un matin d'été 1942, en pleine guerre, David et Fanny, deux enfants français de religion juive, prennent le train avec leurs parents afin de franchir la ligne de démarcation pour s'éloigner de la barbarie nazie. Mais cette ligne ne sera jamais franchie. Leur mère arrêtée et leur père en zone libre, ils séjournent dans une ferme avant d'être raccompagnés à Paris chez leurs grands-parents. Retour à l'école, ennui, peur, attente du courrier, silence de leur mère. Mais où est-elle ? Pourquoi ne leur écrit-elle plus jamais ? Que va-t-il leur arriver ?
La petite Manon a un gros rhume. Elle s'ennuie, seule à la maison et en plus, il pleut. Pour se distraire, elle fouille dans le tiroir aux trésors et, malgré une interdiction formelle de sa mère, s'enveloppe d'un châle brodé, tout en soie pourpre. Elle se retrouve comme par enchantement sur un traîneau de bois verni. Sans lui demander son avis, les chevaux s'élancent l'entraînant dans une série d'aventures...
Il y a, dit Jean Castelli dans sa préface à ce recueil, des femmes, des hommes qui persistent à défendre la poésie. Au pragmatisme omniprésent, ils opposent ce qui ne sert à rien, donc l'indispensable : la musique des mots, les rêves dans lesquels ils vivent et qu'ils veulent faire partager.
C'est un printemps qui souffle sur les mots les vers qu'on espère ainsi que les filigranes sonores d'anciennes arcanes, une fraîcheur où remonte la chaleur à des livres d'heures. Cela chante et d'aventure nous hante. Qu'en nous le sens trouve la résonnance des émerveillements. À travers les rythmes, la respiration même fait sens, voix native, gratuité d'un air.
«La poésie devrait être déclarée d'utilité publique. Les poètes dont Annie Perec Moser fait partie, ont ce pouvoir précieux, et si important dans le monde d'aujourd'hui, de créer un univers bien différent de notre quotidien. Avec des mots et de la musique, ils colorent les gris, les ternes, le médiocre. Ils ouvrent grand nos fenêtres, nos yeux, nos mains, ils nous offrent des paysages où nous trouvons enfin notre place, reléguant nos servitudes au second plan et même plus loin. N'oublions pas que le poète est un enchanteur, ici, une enchanteresse.» (Extrait de la préface de Jean Colin).
Tout est dans la présence, le ressenti et la fidélité dans la durée.
Le souci du détail renforce la perception du vécu. L'émotion prend corps, surprise entre ouverture, discrétion, mémoire et repères symboliques. Autour de la poète s'incarne un univers personnel de proximité, de rêve, avec parfois la conviction prémonitoire que «l'incertain de la nuit fait trembler les hublots».
Derniers jours de vacances et premiers jours de retrouvailles pour Pauline et Thibaud. Ensemble, ces amis de toujours décident de faire leurs derniers achats pour la rentrée à la Samaritaine, un ancien grand magasin fermé depuis longtemps. Ils y sont accueillis par un homme bizarre, monsieur Georges, le dernier des vendeurs perdu au milieu de la poussière, des cartables démodés et des cahiers jaunis. Très vite, Pauline et Thibaud réalisent qu'ils sont, comme Monsieur Georges, prisonniers de ce bâtiment !
Tout près d'eux, dans la Tour Saint-Jacques au coeur du vieux Paris, maître Flamel, alchimiste bien connu par le passé, est au comble de l'angoisse ! Il vient de faire un rêve qui annonçait l'arrivée d'enfants trop curieux. Tremblant pour son or, ce trésor soigneusement caché depuis des siècles, il convoque ses fidèles démons pour frapper vite et fort. Il ne veut surtout pas de travaux de rénovation à la Samaritaine et encore moins de nouveaux clients. Pauline et Thibaud vont devoir braver les dangers et combattre par tous les moyens afin de retrouver la liberté et pourquoi pas le Trésor !